L'AIGLE ET LA ROSE de Serge Hayat

L'AIGLE ET LA ROSE
Après nous avoir séduit avec l’Empire en Héritage qui retraçait la vie de l’Aiglon, fils de Napoléon 1er, François duc de Reichtstadt et roi de Rome, Serge Hayat nous raconte la vie intime et passionnée de Joséphine de Beauharnais et Napoléon, dans son nouveau roman très documenté intitulé L’AIGLE (symbole impérial) et la Rose (second prénom de Joséphine).

Budapest, reprise d’un opéra inédit : Fra Diavolo de Daniel Auber

Fra Diavolo
Créé à l’Opéra-comique (salle Ventadour) en janvier 1830, Fra Diavolo, ou L'hôtellerie de Terracine est un opéra-comique en trois actes de Daniel Esprit Auber sur un livret d’Eugène Scribe. Constituant l’un des opéras comiques les plus populaires du XIXe siècle (plus de 900 représentations, „l’œuvre la plus couronnée de succès dans son genre avant l’arrivée d’Offenbach”- Hugh MacDonald), il fut traduit dans de nombreuses langues. Il s’inspire, de façon romancée, d’un personnage ayant réellement existé : Michele Pezza, dit „Frère Diable” (Fra Diavolo) né à Itri en Italie et mort pendu le 11 novembre 1806 à Naples, qui fut l'un des chefs insurgés napolitains contre l'armée de Napoléon.

Concerts : Renaud Capuçon de retour sur la scène de Budapest (Schumann, Dvořák)

Capucon
Il est inutile de le présenter, tant sa réputation n’est plus à faire. A la tête de deux festivals prestigieux (Sommets musicaux de Gstaad, Festival de Pâques d’Aix-en-Provence), Renaud Capuçon figure sans conteste parmi les violonistes les plus en vue de notre temps. Jouant sur un violon Guarneri qui appartint jadis à Isaac Stern, Renaud Capuçon sait tirer de son instrument des sons particuliers dont il a le secret. Violoniste, mais également chef. Tel est le double rôle qu’il a tenu lors d’un concert donné récemment à Budapest à la tête de l’Orchestre symphonique de la Radio hongroise dans le concerto de Schumann et la Huitième symphonie de Dvořák. Le cadre : l’Académie de Musique (Zeneakadémia). Un habitué, bien connu du public hongrois devant lequel il s’est déjà produit à plusieurs reprises par le passé.

Budapest : rencontre avec un contemporain de Bach tombé dans l’oubli, G.H. Stölzel

Stölzel
Réputé pour son souci de révéler au public des compositeurs peu connus, voire méconnus, principalement dans le répertoire baroque, le chef hongrois György Vashegyi a choisi de nous présenter ce soir un compositeur allemand, Gottfried Heinrich Stölzel.

« Buildings Tell Tales » : les murs de Budapest vus par Vincent Baumgartner

Vincent Baumgartner
Beaucoup de Budapestois connaissent bien la page Facebook « Buildings Tell Tales », qui raconte l’histoire des vieux bâtiments de Budapest. La page tenue par Vincent Baumgartner culmine à une trentaine de milliers de « followers », chiffre impressionnant pour un amateur, mais qui se justifie par la qualité des photos et par la recherche effectuée sur l’histoire de chaque édifice. Nous avons pu le rencontrer au milieu de ces photos, dans le bar Hintaló Iszoda, où celles-ci étaient exposées.

Retour sur la 14ème édition du Festival du Film francophone

Festival du film francophone
À l’occasion de la 14e édition du Festival du Film francophone, l'Institut français et ses différents partenaires ont présenté une sélection éclectique de vingt-quatre films. Les projections ont eu lieu du 28 février au 10 mars 2024 à l'Institut français, au cinéma national Urania ainsi qu’au centre culturel Turbina. La clôture du festival est l’occasion pour nous de faire un retour sur les films que nous avons pu voir.

Budapest : pour ouvrir sa saison de printemps, l’Opéra ressort un compositeur tombé dans l’oubli : Pietro Mascagni

Mascagni
Pietro Mascagni : „compositeur italien né le 7 décembre 1863 à Livourne, mort le 2 août 1945 à Rome”. Que sait-on de lui ? Pas grande chose à vrai dire, sinon qu’il nous a laissé un opéra, le seul encore joué de nos jours : „Cavalleria rusticana”. Et pourtant…. Ce fils de boulanger, élève de Ponchielli et condisciple de Puccini fut célébré en son temps.