Quintessence au Palais Stefánia

Galerie Stefania
Un somptueux jardin avec des sentiers et des sculptures qui nous conduisent jusqu’à la galerie du Palais Stefánia où nous assistons au vernissage organisé par l’Association Mednyánszky. Après des années d’absence, suite à l’isolement dû au Covid, l’Association Mednyánszky renaît et nous présente une multitude d’œuvres. L’essentiel de l’art poétique de ses artistes. Une exposition encore ouverte jusqu’à la fin du mois de septembre.

Société des peintres hongrois : 30 ans d’excellence célébré à la galerie Vigadó

exposition « Founder »
Ce vendredi 12 septembre 2025, la galerie Vigadó à Budapest a accueilli le vernissage de l’exposition « Founder », organisée par la Société des peintres Hongrois pour célébrer ses 30 ans d’existence. Plusieurs centaines d’initiés, parmi lesquels artistes, collectionneurs, critiques et amateurs d’art, se sont réunis pour découvrir une sélection d’œuvres illustrant la diversité et la richesse de l’art hongrois. Cette exposition, qui restera ouverte jusqu’au 17 septembre 2025, souligne le rôle central de la société dans la promotion de la liberté artistique et du dialogue entre les différentes techniques et mouvements picturaux.

L’ARBRE BALADEUR

Bálint-Géza Basilides
Bálint-Géza Basilides, dit Valentin – avec un nom comme ça il est impossible de ne pas être peintre. Peintre vieillissant, un peu amateur, commençant sur le tard, mais quand même pas dilettante. Surtout pas ! Peintre. Na ! Parce qu’enfin, il est devenu peintre, Bálint Basilides. - Traduction de l’article « Vándorfa » de Iván Bächer, paru le 3 septembre 2005 dans le supplément culturel hebdomadaire de Népszabadság.

Portrait croisé : Quand Aladár Farkas et Lucien Hervé se rencontrent

Aladár Farkas et Lucien Hervé
En 2011, l’Institut Français de Budapest réunissait pour la première fois les œuvres de Aladár Farkas et de Lucien Hervé. Deux Hongrois ayant vécus en France, aux parcours opposés mais aux engagements convergents. L’un sculpte la matière pour témoigner des luttes et des souffrances de l’Homme, l’autre capture la lumière et l’espace pour révéler la poésie de l’architecture moderne. Cette exposition, issu d’une rencontre unique entre les deux artistes en 1983, révèle comment deux langages artistiques peuvent dialoguer et s’unir dans une même vision humaniste de notre monde.

L’OEIL DE L'ARCHITECTE

Laszlo Horvath
À peine arrivée à Paris, j’ai rencontré l’auteur d’un livre fraîchement édité, un livre magnifique : Le Corbusier vu par Laszlo Horvath. Laszlo Horvath a l’esprit créateur, qu’il s’agisse de ses photographies ou de ses films documentaires. Il nous fait découvrir quelques grandes personnalités du monde littéraire et artistique comme Roger Martin du Gard, Jacques Copeau, ou Vera Molnar. On connaît les images de Lucien Hervé : Le Corbusier vécu. Laszlo Horvath a pris le relais.  À travers son dernier livre, nous découvrons autrement l’univers de Le Corbusier.

Gyula Czimra et le déshabillage paisible de l'existence 

Gyula Czimra
​​​​​​​Jusqu’au 14 septembre, l'œuvre de Gyula Czimra (peintre, 1901-1966) est présentée à la Galerie nationale hongroise. L’exposition, scindée en six parties et intitulée « Sans ombres » décrit soigneusement l’espace et l’univers intérieur du « Morandi hongrois » - le visiteur est véritablement envahi par le déluge stylistique de l’artiste non-conformiste. Selon ses propres mots, « J’ai passé une moitié de ma vie à me chercher » ; vers la fin de la présentation, cela sautera aux yeux : il s’est trouvé, dans sa plus pure vérité.

Du nouveau au Musée du Papier

Musee du Papier
Le 25 avril dernier était une journée spéciale pour le monde de la papeterie hongroise. Au Musée du Papier, à Dunaújváros, plus d'une quarantaine de personnes étaient présentes. Parmi elles, des experts, des spécialistes, des artistes et des journalistes, tous liés par un intérêt commun : le papier. Au programme : conférences, inaugurations d'expositions et visites guidées.

Personne ne conteste la place de l’homme dans la révolution

Personne ne conteste la place de l’homme dans la révolution
​​​​​​​De l’ordre de 200 œuvres féminines - tant historiques que contemporaines - se trouvent au sein de la Galerie de Budapest du 17 juillet au 5 octobre. L’exposition, intitulée « Personne ne conteste la place de l’homme dans la révolution », s’articule autour de l’art des femmes tout au long de l’histoire moderne, dévoilant ainsi des adversités (particulièrement la méconnaissance et la marginalisation), auxquelles fait face la valeur prégnante (autant culturelle que politique) exprimée par ces œuvres.