Des étoiles au son éclatant

Jonathan Tetelman
C’est déjà la troisième visite de Jonathan Tetelman, ténor chilien-américain, très jeune (35 ans) et très talentueux, mais c’est la première fois qu’une soirée entière lui était consacrée. Il arrive à l’invitation de Margitsziget, et malgré les difficultés du transport en public sur l’ile, une foule importante l’attend au pied du château d’eau. La magie de Puccini et Tetelman.

Livia versus Marie

MŰSZAK
Il faut se rappeler deux événements : le mystère des tableaux disparus, dont l'explication est la révolte des maîtres qui, de l’au-delà, ont effacé leurs tableaux cachés dans des coffres-forts ; et la réapparition puis la disparition définitive des couleurs d'un tableau exposé dans la vitrine d'un encadreur, János.

La vie des choses

La vie des choses
En mai 2022, nous avions assisté à la présentation du livre « L’anomalie » de Hervé Le Tellier à l’Institut Français de Budapest. L’œuvre, récompensée par le prix Goncourt en 2020, présente sept personnages. Très brièvement résumé, ces personnages se dédoublent, ce qui conduit chacun à se rencontrer lui-même.  Cette trame permet à l'auteur d'aborder les mystères psychologiques de la vie humaine. L’ouvrage est passionnant et sa lecture vivement recommandée.

L'AIGLE ET LA ROSE de Serge Hayat

L'AIGLE ET LA ROSE
Après nous avoir séduit avec l’Empire en Héritage qui retraçait la vie de l’Aiglon, fils de Napoléon 1er, François duc de Reichtstadt et roi de Rome, Serge Hayat nous raconte la vie intime et passionnée de Joséphine de Beauharnais et Napoléon, dans son nouveau roman très documenté intitulé L’AIGLE (symbole impérial) et la Rose (second prénom de Joséphine).

Budapest, reprise d’un opéra inédit : Fra Diavolo de Daniel Auber

Fra Diavolo
Créé à l’Opéra-comique (salle Ventadour) en janvier 1830, Fra Diavolo, ou L'hôtellerie de Terracine est un opéra-comique en trois actes de Daniel Esprit Auber sur un livret d’Eugène Scribe. Constituant l’un des opéras comiques les plus populaires du XIXe siècle (plus de 900 représentations, „l’œuvre la plus couronnée de succès dans son genre avant l’arrivée d’Offenbach”- Hugh MacDonald), il fut traduit dans de nombreuses langues. Il s’inspire, de façon romancée, d’un personnage ayant réellement existé : Michele Pezza, dit „Frère Diable” (Fra Diavolo) né à Itri en Italie et mort pendu le 11 novembre 1806 à Naples, qui fut l'un des chefs insurgés napolitains contre l'armée de Napoléon.

Concerts : Renaud Capuçon de retour sur la scène de Budapest (Schumann, Dvořák)

Capucon
Il est inutile de le présenter, tant sa réputation n’est plus à faire. A la tête de deux festivals prestigieux (Sommets musicaux de Gstaad, Festival de Pâques d’Aix-en-Provence), Renaud Capuçon figure sans conteste parmi les violonistes les plus en vue de notre temps. Jouant sur un violon Guarneri qui appartint jadis à Isaac Stern, Renaud Capuçon sait tirer de son instrument des sons particuliers dont il a le secret. Violoniste, mais également chef. Tel est le double rôle qu’il a tenu lors d’un concert donné récemment à Budapest à la tête de l’Orchestre symphonique de la Radio hongroise dans le concerto de Schumann et la Huitième symphonie de Dvořák. Le cadre : l’Académie de Musique (Zeneakadémia). Un habitué, bien connu du public hongrois devant lequel il s’est déjà produit à plusieurs reprises par le passé.

Budapest : rencontre avec un contemporain de Bach tombé dans l’oubli, G.H. Stölzel

Stölzel
Réputé pour son souci de révéler au public des compositeurs peu connus, voire méconnus, principalement dans le répertoire baroque, le chef hongrois György Vashegyi a choisi de nous présenter ce soir un compositeur allemand, Gottfried Heinrich Stölzel.

« Buildings Tell Tales » : les murs de Budapest vus par Vincent Baumgartner

Vincent Baumgartner
Beaucoup de Budapestois connaissent bien la page Facebook « Buildings Tell Tales », qui raconte l’histoire des vieux bâtiments de Budapest. La page tenue par Vincent Baumgartner culmine à une trentaine de milliers de « followers », chiffre impressionnant pour un amateur, mais qui se justifie par la qualité des photos et par la recherche effectuée sur l’histoire de chaque édifice. Nous avons pu le rencontrer au milieu de ces photos, dans le bar Hintaló Iszoda, où celles-ci étaient exposées.