La légende de Robert Capa hante toujours Paris

La légende de Robert Capa hante toujours Paris
C’est, sans aucun doute, la plus courte et la plus originale des expositions qui s’est tenue dans le cadre de la 23ème édition de Paris Photo dont les portes s’ouvriront officiellement au Grand Palais du 7 au 10 novembre. Lundi 4 novembre, une petite centaine d’invités ont, en effet, pu visiter, l’espace d’une seule journée, l’ancien atelier du photographe d’origine hongroise Robert Capa (de son vrai nom Endre Ernö Friedmann) où il s’était installé avant-guerre avec quelques amis qui, plus tard, sont devenus des légendes de la photographie comme David « Chim » Seymour et Gerda Taro.

5 sites hongrois à visiter absolument

Nous avons sélectionné pour vous 5 sites hongrois à visiter absolument. Vous êtes un expatrié en Hongrie et aimeriez en apprendre davantage sur ce pays? Ou vous êtes simplement intéressé par la culture hongroise? Nous avons sélectionné pour vous 5 sites hongrois à visiter absolument. Ils abordent des thématiques variées, qui conviendront à tous les goûts. Actualités, cuisine, histoire… Parcourez-les selon vos centres d’intérêt!

Climat, l'expo à 360°

BNP Paribas, la Fondation BNP Paribas et l’Institut français de Budapest organisent l’exposition intitulée « Climat, l'expo à 360° » du 4 novembre 2019 au 13 décembre 2019. Climat, l'expo à 360° fait le point sur les questions soulevées par l’augmentation des gaz à effet de serre liée aux activités humaines.

Une école primaire bilingue francophone à Nyíregyháza en septembre 2020 : une première en Hongrie

Entretien avec Hugues Denisot, attaché de coopération linguistique et éducative JFB : Quelle place a occupé ce projet de section primaire bilingue francophone dans votre action au sein du Service de coopération et d’action culturelle ? H. D. : Je tiens à dire que je n’ai pas focalisé mon action sur un credo unique axé sur les sections bilingues. Quand je suis arrivé, il y a quatre ans, je n’avais pas d’idée préconçue. La réflexion générale en matière de politique linguistique portait sur l’enseignement du français Langue 2, sur les sections bilingues des lycées, ainsi que sur le soutien aux écoles qui proposent le français Langue 1 à l’école primaire. Les sections bilingues étaient entrées dans une phase de labellisation qui avait été lancée par la collègue qui m’avait précédé. J’ai donc continué à œuvrer dans ce sens si bien qu’actuellement neuf sections bilingues possèdent le LabelFrancEducation. Il était important d’entretenir et de confirmer l’intérêt porté aux sections bilingues mais il était tout aussi important de soutenir l’enseignement du français LV1, LV2 voire LV3. Notre action est souvent liée à celle des enseignants eux-mêmes, le dynamisme, l’implication d’un enseignant, d’une équipe nous obligent à être présents à leur côté quel que soit le contexte d’enseignement.

Budapest : Schubert et Donizetti réunis pour le temps d´une soirée

                          Concert de la Toussaint au Palais des Arts (Müpa) Si vous me demandiez ce qu’il y a de commun entre Franz Schubert et Gaetano Donizetti, je serais bien en peine de vous répondre, sinon qu´ils furent tous deux nés la même année (1797). Avec cette différence que le second survécut vingt ans au premier. Et pourtant, deux compositeurs associés dans un même concert en cette soirée de la Toussaint. De plus, avec deux œuvres de caractères a priori foncièrement différents : une symphonie du premier et le Requiem du second. Pour combler le tout, agréable cerise sur le gâteau, des œuvres dirigées par une jeune femme, au demeurant charmante, l´Italienne Speranza Scappucci (46 ans).  

1956 : 63 ans déjà…

A supposer qu´ils avaient alors à peine 20 ans, les combattants de 1956 ont aujourd’hui plus de 80 ans… Des journées qui, pour la grande majorité, relèvent donc davantage des manuels d´Histoire que du souvenir… Comment ces nouvelles générations abordent-elles cette période ? Difficile à dire...

Viktor Orbán… glorieux descendant d´Attila?

Savez-vous qui étaient les „Kiptchaks” ? A ma honte, j´avoue personnellement l´avoir ignoré jusqu’ici… Jusqu´au jour où, assistant récemment à Bakou au Conseil turcique (Conseil des États turcophones), le Premier ministre hongrois a transmis aux membres présents le „salut de leurs frères kiptchaks de Budapest”. Était-ce de l´humour ou, plus vraisemblable, était-ce à demi sérieux ? En tous les cas, voilà qui prête à sourire et, comme l´on pourra aisément l´imaginer, fait ici l´objet de plaisanteries diverses, du moins chez les mauvais esprits.

„Dictionnaire inédit de la Hongrie”

Une immersion (distrayante) dans la Hongrie profonde à laquelle nous convie Joël Le Pavous En voilà qui pourrait en faire rougir plus d´un d´envie : arrivé depuis six ans à peine en Hongrie, ne sachant alors pratiquement pas un mot de hongrois, notre ami parle aujourd´hui couramment cette langue, pourtant réputée ardue, et ce sans accent. Mais ce n´est pas tout, également doté d´un talent de rédacteur évident. A croire que des bonnes fées se sont penchées sur son berceau là-haut, dans sa Savoie natale… Nous avons nommé Joël Le Pavous, jeune journaliste free-lance établi à Budapest.

Rencontre avec Joël Le Pavous, auteur du « Dictionnaire insolite de la Hongrie »

Rencontre avec Joël Le Pavous, auteur du « Dictionnaire insolite de la Hongrie »
Journaliste indépendant suivant l’actualité magyare depuis novembre 2013 et collaborateur du Journal Francophone de Budapest, Joël Le Pavous présente ce jeudi à la Librairie Latitudes de l’Institut Français son « Dictionnaire insolite de la Hongrie » publié le 15 mars dernier aux éditions Cosmopole. Entretien avec la plume de cet ouvrage aussi agréable que bien documenté.

Marathon des films classiques, la fête budapestoise du cinéma

C’est par un incontournable français concocté dans la clandestinité sous l’Occupation (« Les Enfants Du Paradis » de Marcel Carné, Jacques Prévert, Joseph Kozma et Alexandre Trauner) suivi d’une coproduction franco-magyare (« Les Héritières » de Márta Mészáros avec une somptueuse Isabelle Huppert) que le marathon des films classiques s’est ouvert le 4 septembre à Budapest. Le lendemain, nostalgiques et amateurs du septième art hexagonal ont pu découvrir la version restaurée des « Parapluies de Cherbourg », chef-d’oeuvre de Jacques Demy, plus de 50 ans après sa sortie en salles.