De fil en aiguille
Dix heures et quart. Le claquement des grandes fenêtres du salon suffisent à me tirer de mon coma embrouillé. La lumière perce de partout. Malmené par la canicule, mon front brille comme une rivière de diamants. Mais comme dans La Parure de Maupassant, leur éclat n’est qu’illusion. Apparemment, les Hongrois se lèvent de bonne heure...Ils doivent se tenir loin de la Dreher !