Elections consulaires : Timéa Caudot, tête de liste pour l’Alliance Solidaire des Français de l’étranger (ASFE)

Caudot
Alors que le vote débute vendredi, nous rencontrons les têtes de liste des formations en lice. Engagée pour une vie administrative plus simple et égalitaire, Timéa Caudot est née dans l’Hexagone d’un père français et d’une mère hongroise. Résidant en Hongrie depuis 1995 et épouse d’un magyar, elle se reconnait dans les Français de Hongrie et souhaite renforcer l’entraide au sein de cette communauté.

Budapest : Mozart, remontant idéal - pour le moral… - face à la pandémie

Mozart, remontant idéal - pour le moral
Paradoxalement, depuis la fermeture des salles de concert, peut-être jamais l´offre n´aura été si riche en matière de musique. Retransmis sans public sur les réseaux, certes, mais d´autant plus accessibles, car suivis de chez soi, et se succédant quasi quotidiennement.  C´est ainsi que, pour commémorer les 140 ans de la naissance de Béla Bartók se tiennent ces jours-ci en Hongrie des „semaines internationales d´Art” sous le titre de „Printemps Bartók” (Bartók Tavasz). Virtuelles, donc, mais offrant à l´internaute un programme riche et varié.

Une essayiste « immortelle » : Chantal Thomas

Chantal Thomas
Depuis quelques mois (janvier 2021) on compte parmi les femmes membres de l'Académie française une nouvelle élue : Chantal Thomas romancière, essayiste, dramaturge, scénariste, spécialiste de la littérature et universitaire, sans prétendre à l'exhaustivité dans la liste. Elle rejoint dix „immortelles” (entrées depuis 1980, l'élection de la première femme, Marguerite Yourcenar parmi les 40 membres de l'institution fondée en 1634) en occupant son fauteuil auprès des six autres élues siégeant actuellement dans cette assemblée célèbre. Chantal Thomas est une intellectuelle éprise de liberté, par conséquent tellement polyvalente qu'il est difficile de relever certaines activités de sa carrière au détriment des autres. Pourtant, le succès de librairie de deux de ses livres récemment parus offre une belle occasion de parler d’elle et de ses ouvrages en remontant brièvement aux débuts. 

Sur les terrasses de Budapest, « on se sent revivre »

Terrasses
Après des mois de fermeture en raison de la pandémie, les espaces extérieurs des bars et des restaurants rouvraient samedi 24 avril. Sur ces terrasses mais aussi dans les rues Budapestoises, l’ambiance extatique qui régnait ce soir-là n’est pas sans rappeler celle bien connue du festival Sziget.

Budapest : la soprane Klára Kolonits de retour sur la scène de l´Opéra  pour un répertoire inédit

Kolonits
„Bien qu´ayant choisi de présenter des airs de bravoure, ce n´est pas tant la performance physique qui m´attire, que mon souci de restituer le lyrisme, le drame et la passion que recèlent ces morceaux qui offrent des valeurs uniques au plan musical.”

Her Mothers/Anyáim története

Her mothers
Alors que la question des familles homoparentales s’invite au coeur du débat politique en Hongrie, un documentaire diffusé sur HBOEurope et disponible sur la plate-forme HBOGO retrace le parcours du combattant de Virág et Nóra, couple lesbien adoptant un enfant et fondant une famille. Rencontre avec l’un des producteurs du documentaire, Marcell Gerő, ainsi que ses deux réalisatrices Asia Dér et Sári Haragonics.

Budapest : voilà une Reine de la Nuit bien sympathique…

Miklósa
Au départ, rien ne la prédestinait à la scène. C´est au sport de compétition qu´elle se consacrait, avec succès, d´ailleurs. Jusqu´au jour où un accident vint mettre brutalement fin à sa carrière sportive. Véritable traumatisme dont elle avoue ressentir aujourd´hui encore les effets. Ce n´est alors que progressivement et un peu par hasard qu´elle se tourna vers le monde de la musique pour lequel elle n´avait pas au départ d´attaches particulières. Sinon d´avoir assisté dans son enfance à une représentation de La Flûte enchantée (qui allait par la suite devenir son „opéra fétiche”). Pour se voir aujourd´hui projetée au-devant de la scène internationale. Trente après ses débuts. C´était en janvier 1991, au Théâtre Erkel de Budapest, dans le rôle de Papagena. Elle avait alors tout juste vingt ans.