Concerts : la musique française à l’honneur avec deux premières sur la scène de Budapest
Si je vous dis Gounod, vous me répondrez Faust et, pour les plus avertis, la Messe de Sainte Cécile. Mais qui sait qu’il nous a également laissé des Requiem ? Œuvres rarement données, voire, pour le premier, jamais joué depuis sa création à Vienne en 1842. C’est cette œuvre que le chef hongrois György Vashegyi a choisi d’inscrire au programme d’un concert donné au Palais des Arts de Budapest (Müpa). Accompagné d’une composition d’un autre Français, la cantate „Les Sept dernières paroles du Christ” de Théodore Dubois.