JFB
Grève de BKV
Le mois de mai risque de faire des adeptes du vélo et de la marche à pied à Budapest ! En effet, BKV (Société des transports publics de Budapest) annonce une nouvelle grève de plusieurs jours cette fois-ci. Mais les syndicats rassurent les usagers en précisant que les métros fonctionneront normalement et que les dates de la grève ne correspondront pas aux dates du baccalauréat.
Les subventions pour la participation des sportifs hongrois n’ont été versées sur les comptes du Comité Olympique National et du Comité Paralympique National qu’au cours du mois d’avril, avec un retard significatif.
Depuis l’époque où Benjamin Franklin affirmait que « trois déménagements valent un incendie », les choses ont bien changé. 90% des déménageurs internationaux sont favorables aux audits d’accréditation qui mesurent la qualité de leurs services à travers celle de leurs méthodes de travail et tous affirment qu’ils ne vivent que pour votre satisfaction. Voici un petit aperçu de la situation en Hongrie.
Budapest Parcours
Par Emmanuelle Sacchet
Il existe en ce moment à Budapest un univers parallèle, que je vous recommande vivement d’aller explorer: Naconxipán . Pour cela, il vous suffit de vous rendre au numéro 112 de l’avenue Andrássy, en compagnie d’une bonne amie hongroise (capable de parler anglais ou français), qui vous sera bien utile tout au long de votre découverte (c’est facultatif, mais beaucoup plus agréable).
Là, la fondation Kogart organise sur trois étages une exposition unique des oeuvres de Lajos Gulácsy (1882-1932). Jamais telle exposition n’avait été orga-nisée autour de ce peintre, car ses oeuvres appartiennent pour la plupart à des collections privées, éparpillées en Hongrie et dans le monde. Très peu de transactions autour de ses créations (en moyenne une tous les 15 ans), et il reste un peintre entouré de mystère et d’inconnu.
Gulácsy est considéré comme l’un des peintres majeurs en Hongrie. Les puristes vous diront que son oeuvre se situe au carrefour du préraphaélisme, de l’art nouveau et du symbolisme, teintée d’une forte influence renaissance italienne. Certes.
Moi, je vous conseille tout simplement d’y aller, de flaner, et, pourquoi pas, de vous laissez aller à un dialogue (presque) imaginaire avec l’artiste.
Paris réussi !