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Du «sur mesure»
Arrivé depuis quelques mois en Hongrie, le nouveau conseiller économique et commercial de la région wallonne près l’Ambassade de Belgique affiche un enthousiasme à déplacer des montagnes. Après huit ans passés comme directeur du bureau régional de Charleroi de l’AWEX (Agence Wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers), Eric de Clercq a choisi de servir son pays à l’étranger, dans un premier temps à Varsovie, puis depuis quelques mois à Budapest.
Rencontre avec le Conseiller économique et commercial en Hongrie pour la Wallonie (AWEX).
Deux fois par an, les quartiers de Budapest sont envahis, les uns après les autres, par des tas d’ordures et de déchets les plus divers. Ce qui semble un spectacle tout à fait original pour les étrangers est nommé « lomtalanítás » par les habitants de la capitale. Il s’agit d’un grand débarras collectif, plutôt anarchique dans son ensemble. Heureusement, de nouvelles règles devraient rendre le processus moins spectaculaire qu’il ne l’est actuellement.
Deux galeries d’art à Budapest ont accueilli les artistes de la deuxième génération, enfants des survivants de l’Holocauste. Peintres et sculpteurs venant d’Israël et de Hongrie s’expriment, transmettant le souvenir des parents et grands-parents après tant d’années. On croirait que l’iconographie est codifiée, mais il y a une grande variété d’approches allant du dessin à l’art vidéo.
Depuis son Audimat record, du 3 avril, avec «A kiválasztott», «l’élu», sur TV2, une déclinaison locale d’un show ayant déjà fait ses preuves ailleurs, Uri Geller est redevenu, en Hongrie, un thème de conversation à la mode. Quoi que l’on puisse penser de lui, il faut tout de même admettre qu’à 61 ans, le pape du paranormal en paillettes, fait encore une belle carrière.
S’il fallait le caractériser, on pourrait dire qu’Imre Kaló n'est pas un vigneron comme les autres: il n’aime pas les compromis et fait des vins de caractère avec beaucoup d’amour. Son nom est sur toutes les lèvres.
Budapest Parcours Par Emmanuelle Sacchet et l’œil regarde
La sélection de la 61e édition du festival de Cannes a retenu en compétition les films de Clint Eastwood, de Steven Soderbergh, de Wim Wenders et des frères Dardenne tandis qu’Indiana Jones IV de Steven Spielberg et le dernier Woody Allen seront projetés en avant-première mondiale. Un Hongrois aussi, Kornél Mundruczó.