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Mémoire courte et politique symbolique !

Rencontre avec le philosophe G. M. Tamás Homme de gauche, Gáspár Miklós Tamás fait partie des intellectuels hongrois qui ne craignent pas de faire entendre leur voix critique à l’égard des politiques tortueuses de leur pays. Il en fait les frais dans les années 70, sous le régime de Ceaucescu, en devant quitter sa Transylvanie natale pour Budapest ; en 78 il est renvoyé de son poste à l’université pour avoir publié des samizdats. Et en 2011, il doit prendre sa retraite  anticipée de directeur de l’Institut de recherche philosophique de l’Académie hongroise des sciences suite à des attaques subies par son successeur.

Mise en Place

Nouvelle naissance pour Kossuth tér Les travaux de réaménagement de la place Kossuth ont démarré. La première étape a été marquée par le lancement de la construction d’un centre de visites et d’un parking souterrain d’une capacité de 400 à 500 places.

ça passe ou ça casse !

L’avenir du DK remis en cause De ministre des sports, Ferenc Gyurcsány est devenu en 2004 Premier ministre de la République hongroise, devenant par la même un poids lourd incontestable de la gauche libérale hongroise. Il est un véritable expert dans l’art de la survie politique et a résisté aux critiques les plus virulentes, notamment lors du scandale provoqué par son discours de 2006, au cours duquel il avait déclaré que son parti et ses dirigeants avaient usé de mensonges auprès des citoyens hongrois.

La monnaie de sa pièce

Après que la "République de Hongrie" se soit changée en "Hongrie" (tout court), un bon nombre d’institutions ont dû s’adapter à ces nouvelles dispositions. Certaines structures comme les panneaux aux frontières ont été modifié, à l’image des pièces d’identités. Ainsi, ces répercussions s’étendront très prochainement aux pièces de monnaies.

Rhapsodie magyare en deux mouvements

Les manifestations du 15 mars Cette année, le rassemblement du 15 mars, temps fort en Hongrie qui célèbre la lutte pour l’indépendance du pays en 1848, s’est déroulé sous le signe de la division : sur la place Kossuth, les sympathisants du gouvernement Fidesz se sont rassemblés, alors qu’à deux kilomètres de là, dans la rue Szabad Sajtó, les opposants au gouvernements manifestaient eux aussi.