L’enquête est close

  Tournant dans l’affaire Zsanett Il n’y a pas eu de crime selon le Parquet qui a donc clos l’enquête et n’a pas inculpé les policiers soupçonnés du viol de Zanett E. C’est elle qui est désormais menacée d’un procès pour fausse accusation et fausse déclaration, mais l’avocat de Zsanett se prépare à faire appel. Image retirée.

Páripest

La chronique de Dénes Baracs Échos de la francophonie Pour moi, l’histoire de ce mot, Páripest, commence par une petite annonce que mon père de 97 ans (mais oui!) a récemment passée dans un journal, en quête de nouveaux partenaires de bridge. Ce jeu de cartes conserve la jeunesse et l’un de ceux qui ont appelé le numéro indiqué était un autre éternel jeune homme de 90 ans féru de bridge: M. István (Étienne) Raskó. Ensemble ils ont formé un couple formidable de 187 ans et ont obtenu une place honorable à un concours de bridge.

Sándor Márai :livraison de Noël

Les livres du JFB   Une fois n’est pas coutume, mais presque… On va finir par s’habituer à la publication d’un roman de Sándor Márai pour la période de Noël ! L’année dernière, les éditions françaises avaient réuni deux ouvrages de cet auteur pour publier un excellent roman : Métamorphoses d’un mariage (cf. article dans le JFB). Cette année, Albin Michel a choisi de traduire une oeuvre totalement différente, mais qui présente tout autant d’intérêt. Il s’agit d’un roman écrit “à chaud” pour évoquer un épisode historique de la Hongrie.

La fête du “pezsgô”

Les sculptures de Mária Törley au Musée de la gastronomie à Budapest A l’approche du réveillon du nouvel an, le Musée de la gastronomie présente le “pezsgô” Törley et toute la saga familiale, en plein coeur de Pest, près de la grande Basilique. Nous y avons rencontré Mária Törley entourée de ses sculptures, de sa célèbre fontaine Lucullus et de quelques meubles rares du château qui lui sont revenus. Image retirée.

Hommage à une grande dame : Alaine Polcz

(7 octobre 1922- 20 septembre 2007) Image retirée. Femme de l’écrivain Miklós Mészöly, psychologue, écrivain, Alaine Polcz était avant tout une femme de cœur exceptionnelle. Elle est l’initiatrice de la Fondation de l’Hospice Hongrois, lieu d’accueil et de soins palliatifs délivrés aux malades du cancer en phase terminale. Nombre de ses livres traitent avec lucidité du sujet, souvent tabou dans nos sociétés, de la mort. A Budapest, la Maison Kogart présente jusqu’au 31 décembre la collection de peintures du couple disparu pour lui rendre hommage.