La “fameuse” réforme en détail

Assurance santé Image retirée.Après le prix de la consultation, la réforme de la structure de l’hôpital et la libéralisation du marché des médicaments, c’est la réforme de l’assurance santé qui est devenue l’objet de l’attention générale depuis des mois. Le nouveau système, déjà voté par le Parlement, mais pas encore signé par le président, assure la concurrence entre les caisses d’assurance maladie. Selon le gouvernement, il améliorera donc la situation des patients, mais selon les critiques, il y aura peu de concurrence effective par manque d’information de la population.

La santé des Hongrois

La santé d’une population dépend avant tout de son environnement, du fonctionnement du système de protection sociale, et de divers facteurs personnels. D’après les chiffres, la Hongrie se situe entre les pays développés et entre ceux en voie de développement, avec un taux de mortalité de 13 ‰ contre 11 ‰ en moyenne en Europe (et, à titre de comparaison, 9 ‰ en France métropolitaine) (Source: INSEE).

A notre santé !

L’article 152 du traité CE prévoit qu’un «niveau élevé de protection de la santé humaine est assuré dans la définition et la mise en oeuvre de toutes les politiques et actions de la Communauté». A l’heure où, même en France, de graves problèmes se posent quant aux possibilités d’accueil des patients et quant à la qualité des soins qui leur sont administrés, cette affirmation à tout du voeu pieux à l’échelle de l’Union. Image retirée.

Les doigts de fée de Magdolna Vékás

Au cœur de Budapest, la Maison de la photographie Mai Manó présente, jusqu’au 20 février prochain, une rétrospective de 30 ans de travaux photographiques de Magdolna Vékás. Une exposition de plus me direz-vous ! Oui, mais celle-ci a l’intérêt de nous familiariser avec des techniques anciennes qui supposent des supports et des effets que nous n’avons pas ou plus l’habitude de voir, à contre-courant de la photo digitale et de l’instantané. Image retirée.

L’homme de Londres

Le nouveau film de Béla Tarr Image retirée.Après un accueil mitigé à Cannes, L’homme de Londres de Béla Tarr a été projeté fin janvier en avant-première au cinéma Uránia. Dès le premier panoramique d’une radicale lenteur, on comprend pourquoi les plus impatients des festivaliers de la croisette, devant tenir leur rythme de trois, quatre projections par jour, n’ont pas résisté et se sont levés avant la fin du plan.