Szia Budapest!, une exposition photo de Daniel Psenny

Szia Budapest
Ex-journaliste au Monde installé désormais à Budapest, Daniel Psenny expose ses photos de la capitale hongroise dans une galerie parisienne. Il nous parle de sa démarche, de ses découvertes de la ville et de son admiration des nombreux photographes hongrois exilés à Paris qui, avant la Seconde guerre mondiale, ont écrit la légende du photojournalisme et influencé de nombreuses générations de photographes. 

Plaisir de géométrie

Vera Molnar
„Elles ont fait l’abstraction” est le titre de l’exposition au Centre Pompidou, précédée par „Trois femmes en couleurs” à la Galerie Berthet-Aittouarès à Paris. Actuellement les femmes artistes font la une dans le monde des musées et galeries – comme c’est le cas pour Vera Molnar, Parisienne hongroise dont les lecteurs de notre journal connaissent l’histoire. « Plaisir de géométrie » est le titre emblématique du documentaire que László Horváth a réalisé sur l’artiste.

Voyage dans les villes vertes de l’artiste Chris Morin-Eitner

Eitner
Vous avez peut-être déjà eu la chance de tomber sur l’une de ces photographies où Paris est envahie par une faune et flore exubérante. Ces peintures numériques sont les fruits du travail du photographe plasticien Chris Morin-Eitner, qui nous a fait l’honneur d’une interview pour nous aider à mieux comprendre les réflexions et visées artistiques de ses œuvres. Une promesse d’évasion à retrouver sur les sites de l’artiste http://www.morin-eitner.com/albums et de la galerie parisienne W Landau https://www.galeriew.com/artistes/chris-morineitner.

Escapade artistique à la Galerie Várfok qui fête son trentenaire

Várfok
Située à Buda, la Galerie Várfok est un point de rendez-vous pour les amoureux d’art et de culture à Budapest. A l’honneur de son trentième anniversaire, la galerie a organisé une exposition mettant en avant des œuvres d’artistes hongrois et internationaux du 1er décembre au 16 janvier 2021, à l’intérieur, mais également le long de la rue Várfok, avec des panneaux explicatifs.

L’univers unique de Milorad Krstić

L’univers unique de Milorad Krstić
Un des aspects les plus épatant de l’Art de Milorad Krstić est sa capacité à créer un univers nouveau, décalé et farfelu, rempli de créatures humanoïdes atrocement artistiques. Entre psychisme, psychanalyse et psychédélisme, il nous emmène dans les tréfonds de la conscience et du subconscient. Le film d’animation Ruben Brandt, Collector que Milorad réalisa, est la porte d’entrée de ce monde métaphorique, mais pas seulement. L’artiste a également développé cet univers avec des peintures qui furent exposées à l’Art Market Budapest en octobre 2020.

Deux expositions jumelées attirent l'attention sur la créativité artistique en province

Musée inauguré en 1928 dans la « capitale du Balaton »
A Keszthely, à l'autre bout du lac Balaton, à deux heures en voiture de Budapest, existe un « palais de la culture », le Musée du Balaton « Balatoni Múzeum ». Les expositions permanentes, fort bien présentées (en hongrois et en anglais) résument la vie archéologique, historique, biologique et ethnologique dans et autour de la « mer hongroise ». Mais ce qui nous intéresse aujourd'hui, ce sont deux expositions temporaires, visibles jusqu'au 31 décembre.

Robert Doisneau, de Paris à Palm Springs

Robert Doisneau, de Paris à Palm Springs
Robert Doisneau a posé ses valises à Budapest. Le « photographe des rues » (1912-1994), figure marquante de la photographie humaniste principalement sur Paris et sa banlieue, s’est installé à la Mai Manó Ház jusqu’au 10 janvier 2021 avec une centaine de photographies qui retracent son très long parcours de photographe et sa démarche poétique.

Un vernissage miniature pour de grands artistes

Un vernissage miniature pour de grands artistes
Ce Mardi 6 octobre a eu lieu le vernissage de l'exposition Miniképek à la Vízivárosi Galéria. Comme son nom l'indique, cette exposition ouverte jusqu'au 27 octobre présente la crème de la peinture hongroise... en format miniature ! Tous types de tableaux sont ainsi présentés tant qu'ils respectent un format carré de 20 centimètres sur 20 centimètres. L'idée motrice de cette édition est que « sans travail, le talent n'est qu'un feu d'artifice » (citation de Roger Martin du Gard dans son livre Les Thibault). Ainsi, même malgré les mois compliqués de pandémie, les peintres ont continué à produire et c'est pourquoi Tamás Olescher a eu l'idée d'appeler cette édition Miniképek Best-of 2020. En effet, les tableaux proposés ne sont pas forcément nouveaux mais représentent chacun la meilleure production de l'artiste exposé.e.