Malgré la loi sur l’égalité des chances et l’existence d'un délégué au Parlement pour la protection des droits des minorités ethniques, dans les écoles, la séparation des enfants tziganes se poursuit.
Même si tous les goûts sont dans la nature et qu’il y a des gens qui préfèrent Budapest ou Sopron, une vaste majorité de personnes d’origines et d’opinions différentes s’accordent à penser que Pécs est la plus belle ville de Hongrie.
Pécs, ville européenne de la culture en 2010 n’est pourtant pas dans une situation économique florissante et ce, pour une raison bien précise : l’absence d’autoroute.
Les livres pour enfants ne manquent pas aujourd’hui et l’on ne sait plus comment choisir tant il y a profusion en la matière. Trop souvent, hélas, ces livres sont décevants, soit parce que l’histoire est intéressante mais que les dessins ne présentent aucun intérêt, soit, plus souvent, parce que les illustrations sont belles mais l’histoire est fade, voire bourrée d’inepties ou d’histoires très triviales, ou encore parce qu’il n’y a quasiment pas de texte du tout !
Qu’est-ce qui lie la Chine, un pays en voie de développement d’un milliard d’habitants à l’Histoire millénaire - dont le régime communiste est l’un des rares à avoir survécu à la chute de l’Union soviétique -, et l’Union européenne, une organisation régionale regroupant 27 pays parmi les plus riches du monde et dont le PIB est sept fois supérieur à celui de la Chine ?
Depuis le 20 avril, Marie Claire est en Hongrie et en hongrois. Ce magazine mythique, créé en 1937 et dirigé, pour sa version française, par Tina Kieffer, vient enrichir la famille des magazines destinés à la femme hongroise en pleine mutation.
Comme en Inde, en Malaisie, à Hong Kong ou ailleurs, le principe est d’être utile à la femme d’aujourd’hui.
Suivre les migrations estudiantines à travers l’Histoire, c’est sans doute une façon de prendre le “pouls” du monde. Si de nombreux étudiants “de l’Est” sont partis étudier à l’Ouest aux XIXe et XXe siècles, on peut noter que depuis quelques années de plus en plus d’étudiants de l’Ouest prennent le chemin du centre de l’Europe, et en particulier celui de la Hongrie.
Je pense que parmi vous, chers lecteurs, il y en a beaucoup qui aiment ce bon breuvage ! Mais connaissez-vous sa naissance et ses secrets ? Je vais vous en dévoiler quelques-uns…
Lundi 21 mai
Un petit carrousel de fête – film hongrois de Zoltán Fábri sous-titré en anglais. Le film était en compétition au Festival de Cannes de 1956. (dans le cadre des „60 ans du Festival de Cannes”)
19h à l’Institut français (17 Fô u., 1er arrt.)
Galerie VU – exposition de jeunes photographes (jusqu’au 18 août)
Du 14 à 19h à la Maison de la Photographie Mai Manó (20 Nagymezô u., 6e arrt.)
Mardi 22 mai
Bien que la Hongrie soit historiquement un pays d’émigration, elle est aussi et depuis longtemps une terre d’asile : durant les années de guerre froide, elle a été le lieu de refuge d’exilés communistes grecs et chiliens. En 1989, elle prend part à la Convention de Genève de 1951 sur les réfugiés. Près de 30.000 Roumains, pour la plupart d’origine hongroise, fuyant le régime de Ceausescu arrivent alors en Hongrie. Les guerres des Balkans ont ensuite amené des vagues très importantes de réfugiés au point qu’en 1999 plus de 11.500 demandes d’asile ont été reçues par les autorités hongroises. La situation est cependant bien différente aujourd’hui. Le nombre des demandes d'asile est en constante régression depuis plusieurs années.
A l'occasion de la grande exposition du Vitra Design Museum qui tourne actuellement à travers l'Europe, de Glasgow à Madrid en passant par Bruxelles, voici que les oeuvres de Breuer retrouvent la Hongrie, pays d’origine du célèbre architecte et designer. L’exposition initialement conçue par le musée à Weil am Rhein en Allemagne et désormais visible au Musée Ludwig de Budapest, célèbre le centenaire de la naissance du maître.