VIVRE !

La psychologie du bonheur La rentrée, comme dans quelques mois la nouvelle année, est l’occasion de bonnes résolutions pour partir ou repartir du bon pied, se fixer quelques objectifs et se tenir au plus important d’entre eux : la “recherche du bonheur”, rien de moins.

Action-Réaction

Le Billet d'Humeur scolaire Chaque année c’est un peu la même chose et c’est trop injuste. Il semble que les grandes vacances ont à peine commencé que… revoilà la rentrée. Subrepticement, les jours raccourcissent et un sournois petit vent du nord rafraîchit les idées. «Déjà !», disent les enfants qui se croyaient libres éternellement. «Enfin !», soufflent discrètement les mamans.

Gestes Fransformateurs

Une forte proportion de productions venant de pays francophones n’est pas une nouveauté au Trafó – comme si les artistes anarchistes français ayant occupé le bâtiment pendant quelques mois au début des années 1990 y avaient laissé leur testament. Cette saison est également très riche en artistes qui, sans toutefois se servir de la matière verbale, représentent la francophonie. En voici un échantillon jusqu’en décembre.  

Concert

L’été est fini, mais l’on n’est pas obligé de renoncer aux distractions pour autant. Il n’y a qu’à promener son regard sur les programmes musicaux de Budapest pour s’en convaincre.  

Film

Le cinéma aussi fait sa rentrée et il y en a pour tous les goûts.   A commencer bien sûr par l’immanquable Disney de l’année: WALL-E, ce petit robot à qui l’humanité a confié la mission de nettoyer la terre après l’avoir désertée (on comprend pourquoi 700 ans plus tard la tâche ne soit pas achevée…).

Disque

Le violoncelliste peut-être le plus coté de ces dernières années, le Norvégien Truls Mørk, jalousait sans doute les pianistes qui ont l’opportunité de puiser à l’infini dans l’œuvre de Chopin, alors que les partitions pour instruments à cordes sont peu nombreuses.

Simplicité raffinée

Rencontre avec le trompétiste Lôrinc Barabás Don't die, don't die, live right now, live like you gona live forever.  On doit les paroles de la chanson Famous, qui résonnent encore aux oreilles de nombreux Hongrois, au groupe Barabás Lôrinc Electric. Cet ensemble de jazz emprunte à la musique électronique, au dub, au reggae et au hiphop (dans un style souvent appelé nu jazz) et associe les jeunes talents du jazz et de l’undergound sus la direction du trompétiste Lôrinc Barabás, âgé de 24 ans. Le JFB l’a rencontré lors du Festival Sziget.