Échos de la francophonie:
La chronique de Dénes Baracs
Jamais Paris ne me sembla aussi belle que lorsqu’elle était survolée par ce fameux nuage de cendre émis par le volcan islandais au nom imprononçable. Air de printemps, soleil doux, des lumières chaudes, toutes les nuances du vert dans les jardins publics et du bleu sur les vagues de la Seine, ciel impeccable et sourire incrédule sur le visage des touristes.