Expo: Botero

Botero est comme chez lui à Budapest, entre ses œuvres, au Musée des Beaux Arts. On y retrouve des toiles et quelques sculptures de son immense œuvre, provenant des musées du monde entier. Dès ses débuts, cet artiste colombien est influencé par les muralistes mexicains et l’art précolombien. On remarque également son amour pour la renaissance italienne, qu'il a appris à apprécier durant un séjour florentin. Cette exposition offre au spectateur de se promener entre ses sculptures, habituellement exposées sur les Champs Elysées à Paris, dans les jardins de Monaco ou sur les pentes historiques du Musée de Jérusalem. Ses personnages, aux dimensions exagérées, deviennent ainsi les maîtres des lieux.

Annonce

L’Institut français de Budapest cherche, pour le 1er janvier 2011, un gérant pour le Café Dumas. Situé dans le bâtiment de l’Institut français (Fö Utca 17), la Café Dumas est un établissement géré en concession. Le repreneur devra assurer une activité café la journée et une partie restauration et/ou restauration rapide aux heures de repas (service de déjeuner ; service du dîner en option selon les propositions). Il pourra aussi le cas échéant assurer une activité traiteur à la demande de l’institut (sans exclusivité).

Sous contrôle?

Responsabilités dans la tragédie des boues rouges La réglementation actuelle sur le contrôle des usines à risque ainsi que l’attitude des autorités ont de quoi soulever les critiques, pourtant seuls les dirigeants de Mal Zrt sont actuellement inquiétés suite à l’inondation de boues toxiques survenue le 4 octobre dernier.

Arrêt du soutien aux fonds de pension

Le gouvernement a décidé de suspendre tout financement public des fonds de pension à compter du 1er novembre prochain et jusqu'à la fin 2011. L'arrêt du soutien aux fonds de pension est censé faire économiser à l'État environ 60 milliards de HUF en 2010 (près de 220 millions d'euros). L’occasion de faire le point sur le système des retraites en Hongrie.

Taxes de crise

Trois secteurs économiques taxés La loi sur les impôts exceptionnels de crise, visant les entreprises de télécommunication, d’énergie et de grande distribution, a été adoptée par le Parlement lundi 18 octobre, devenant ainsi l’un des piliers les plus importants du deuxième paquet fiscal du gouvernement, et ce dans le but de maintenir le déficit public plafonné à 3,8% cette année.