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Sziget 2011

On l’attendait, il s’est fait désiré, mais enfin… Le coup d’envoi du Sziget a sonné !   Au rayon nouveautés, le Chapiteau de Musique Tzigane sera agrandi pour fêter ses dix ans. Le site de la musique électronique alternative, Meduza, va doubler de volume, au vu de sa fréquentation élevée l’an passé. Un nouveau site sera dédié à l’amour et à la santé, le Sziget Paradise. Une carte spéciale Budapest sera disponible pour découvrir la ville qui entoure le Sziget, le Citypass, donnant accès aux transports publics, aux spas/plages, navettes et bateau (voir conditions sur www.szigetfestival.fr). Enfin, changement majeur, la monnaie en espèces disparaît du festival, remplacée par la “Festival card”, une solution de paiement sans coordonnées bancaires avec une carte prépayée. Pas d’inquiétude, plusieurs points de vente, services d’assistance, hôtesses et experts seront à votre disposition pour vous guider.

Les toiles des Huit

Les grands maîtres de l’avant-garde au Musée des Beaux-Arts Le célèbre groupe de maîtres hongrois d’avant-garde d’inspiration parisienne a regagné sa patrie dans les salles du Musée des Beaux Arts. Les nus d’une beauté éblouissante ont fait un long voyage depuis l’Australie pour être de nouveau exposé, après 90 ans, à Budapest. L’exposition des Huit est revenue avec des toiles rassemblées dans des musées et collections privées de différents pays, après avoir été exposée à Pécs, capitale culturelle européenne. Le public y verra également des œuvres fraîchement arrivées de Bruxelles dans le cadre de l’exposition « Dialogue de Fauves ».

Fin de la dolce vita

Impôt sur la malbouffe   Une nouvelle taxe sur la «junk food» vise à améliorer l’état de santé de la population hongroise et enrichir les caisses publiques à partir de septembre. Cependant, les acteurs du secteur agroalimentaire doutent de l’efficacité de la mesure.  

Violation du secret défense

L’affaire Szilvásy   Le 28 juin, la police hongroise a arrêté Lajos Galambos, directeur du Bureau de la défense et de la sécurité nationale (NBH) entre 2004 et 2007. Trois jours plus tard, Sándor Laborc, son successeur à ce poste, a également été interpelé ainsi que György Szilvásy, ministre en charge de la supervision des services de sécurité civile de 2007 à 2009. Ils sont accusés d’espionnage.