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Belle blonde, quand tu nous tiens….

Il existe plusieurs brasseries dites «belges» à Budapest. Mais la plus grande et celle où, assurément, il règne la meilleure ambiance se situe sur Bem rakpart 12, la Henri Belga Sörözô, à deux pas de l’Institut français. Tout le monde a déjà remarqué cette devanture aux couleurs du drapeau belge aguichant les passants avec des noms évocateurs tels que «Cuvée des trolls», «Kriek Belle-Vue» ou encore «Blanche des neiges»  

ET SON CHAGRIN D’AMOUR

LE BILLET D’HUMEUR   Sur Király, rien ne va plus, les jeux sont faits. Entre arbustes malingres, trottoirs défoncés, papiers gras et crottes de chien, la rue du Roi, Puskin utca sous l’ancien régime, offre un visage d’abandon et de bataille perdue. Où sont les élégantes qui vont d’un pas pressé les bras chargés de paquets ?

Dionne Warwick

C’est au Palais des Arts de Budapest que l’on pourra écouter Dionne Warwick le 20 novembre à 19h30. Même si son style est difficile à qualifier, on se trouve très vite sous l’emprise de ses mélodies. Le mélange du gospel, de la soul, du rhythm & blues, de la pop et du jazz crée une atmosphère vraiment particulière.

Livre: La Vieille maison

Nous sommes à Pest et à Buda à la veille de la révolution de 1848 pour l’indépendance de la Hongrie. L’histoire se déroule dans une « vieille maison », la demeure cossue de celui qu’on surnomme le « grand charpentier », Christophe Ulwing. Ce dernier a construit sa maison dans un quartier isolé de Buda et suscité l’incompréhension des Pestois en établissant sa demeure dans les « dunes » plutôt qu’en ville. Puis, du fait de sa renommée de charpentier (ses ateliers sont installés au même endroit que sa maison), la « maison neuve » va vite devenir la « vieille maison », celle du châtelain de Buda et celle surtout que tout le monde connaît.

Expo: Néprajzi Múzeum

Nous autres est le titre de l’exposition qui accueille ces jours-ci des collections ethnologiques exceptionnelles. C’est sous le même titre qu’une première exposition a eu lieu au MEG de Genève, dont le directeur, Jacques Hainard, a tenu à venir jusqu’à Budapest. Il est fier et heureux de présenter ici une édition très originale, composée d’objets d’art venant de toutes les grandes collections hongroises.

Home, sweet home ?

L’impact de la crise financière sur le marché de l’immobilier Jusqu’en 2006 les prix des bien-fonds ont connu une croissance de 10%, il était alors certain qu’investir dans l’immobilier était un placement rentable. Qu'en est-il aujourd'hui, par temps de crise financière mondiale?