JFB
La chronique du palais
de Natacha Guego
de Natacha Guego
Comme presque partout en Europe, la vague de froid de cet hiver – combinée avec les situations de détresse de beaucoup de personnes appartenant aux couches les plus défavorisées de la population – a causé de multiples tragédies en Hongrie.
Comme si la crise économique ne suffisait pas, voici une bonne crise énergétique en Europe centrale. Il y a déjà plusieurs semaines que le débat sur la répartition du gaz russe transitant par l’Ukraine a débuté, cristallisant ainsi les tensions dans les pays de l’Europe centrale et de l’Est, fortement dépendants de l’énergie russe.
Quand a eu lieu le changement de régime? Sans doute cet événement ne peut-il pas être rattaché à une seule date. Il ne peut pas être identifié, par exemple, à la proclamation de la République de Hongrie, le 23 octobre 1989. Il s’agit au contraire d’un processus qui a duré bien plus de 24 heures, bien plus même que les 365 jours de l’année 1989.
« On ne naît pas génie, on le devient », telle est la maxime favorite de László Polgár, heureux papa de trois des joueuses d’échecs les plus primées au monde. Dans son ouvrage Cultivez le génie!, il a voulu démontrer que le génie est une chose acquise et non innée en expliquant que chaque nouveau-né a la capacité de devenir un surdoué. Si sa progéniture est sa meilleure publicité, le concept est loin de faire l’unanimité.
C’est un fait, l’éducation hongroise est en crise. Avec un système éducatif à trois vitesses et un déficit démographique déjà perceptible, la Hongrie met en péril son avenir économique. Pour faire un rapide état des lieux, le JFB a rencontré Ivan Bajomi, maître-assitant de sociologie à l’Université d’ELTE et spécialiste des questions d’éducation.
Pour quels produits la Hongrie est-elle célèbre hors de ses frontières? Sans dictionnaire des stéréotypes, il est difficile de répondre à cette question. Pourtant, à Budapest, au sein du Bureau Export de la Musique Hongroise (MXH), une dizaine de personnes se battent au quotidien pour promouvoir les mélodies magyares.
La morsure et l’amour, la beauté et la tristesse des amoureux, ou encore la beauté des lignes et la silhouette des amoureux, des corps – telles sont quelques-unes des paires, quelques-uns des champs d’interaction de Sári Gerlóczy.