FEMMES, FEMMES FEMMES !

Et oui, en cela aussi il semble que nous réclamions de façon de plus en plus préoccupante notre dû de parité. Des indicateurs encore disparates commencent à laisser soupçonner que peut-être les femmes ne sont pas intrinsèquement les inoffensives protectrices de vie qu’on a toujours voulu croire.

Budapest, la Bangkok de l’Europe

Les Hongrois, de manière assez typique pour les habitants de petits pays peu connus dans le monde, se demandent souvent à quoi fait penser leur pays à l’étranger. La réponse n’est pas exactement ce qu’ils imaginent... D’après les réactions des étrangers, observées de Londres à Tel Aviv, en passant par la petite île de Koh Samui, en Thaïlande (oui, même en Thaïlande), la Hongrie évoque typiquement belles femmes et sexe facile, un pays régulièrement représenté dans les «best of» de l’industrie porno.

50 ans d’Europe

Campagne présidentielle française : comment relancer l’Europe ? «Un de ces trois hommes sera très probablement le prochain ministre français des affaires européennes», chuchote un journaliste hongrois à l’oreille d’un de ses collègues d’Europe centrale, invité, comme lui, à participer à une rencontre sur les élections françaises et l’enjeu constitutionnel européen.

Santé psychique : comment se portent les Européens ?

La question paraît anodine, et pourtant elle intéresse de près les organismes européens, en particulier dans le domaine de la santé mentale. L’enjeu est de taille car si l’on veut assurer à l’Europe un avenir serein sur le plan économique, il faut lui donner les moyens pour «se porter bien» sur le plan psychologique. Depuis 1997, la politique de la santé de la Communauté européenne s’est investie dans de très nombreux projets concernant les fléaux de notre société tels le suicide, la dépression, la drogue, l’alcool ou la violence. Notons par exemple le projet «Promotion de la santé mentale des enfants jusqu'à 6 ans» (1997-1999), et la stratégie anti-drogue de l’UE pour la période 2005-2012.  

Ne tirez plus sur les labos !

 Dans les pays de l’OCDE, les dépenses en médicaments, représentent 20% des dépenses de santé. Pourtant, la situation des laboratoires pharmaceutiques ne justifie pas l’a priori négatif dont ils font systématiquement l’objet.   Depuis l’avènement des médias, le chercheur qui met au point un nouveau médicament est révéré par le grand public. Bizarrement, le laboratoire qui a permis que cette découverte voit le jour est, lui, prié de se faire tout petit. De fait, on connaît beaucoup mieux Michel-Ange que Jules II, son mécène.   Ce manque de reconnaissance n’est rien, à côté des problèmes rencontrés dans les domaines de la protection de la propriété intellectuelle et de la mise en vente du médicament.