Esterházy, Konrád et Spiró à Jérusalem

Rencontre avec l’auteur Marianna D. Birnbaum  Professeur, spécialiste de la littérature de la Renaissance en Californie à l’UCLA et invitée du CEU (Central European University) à Budapest, Marianna D .Birnbaum n’a jamais hésité à s’interroger sur le présent. C’est au Festival du livre de Budapest qu’elle présentera cet ouvrage.

Défier la mort

Échos de la francophonie La chronique de Dénes Baracs Défier la mort, un rêve vieux comme l’humanité. Car s’il est vrai que la résurrection nous est promise par les différentes religions, le délai d’attente après notre disparition, tout comme les détails de l’événement sont incertains.

Entre chiens et loups

Un groupe de chercheurs du département d'éthologie (science qui étudie le comportement animal) de l'université ELTE de Budapest mène, depuis de nombreuses années, des recherches sur les comportements des chiens et des loups. Une étude qui a des répercutions dans la recherche en robotique et notamment dans la conception des chiens-robots.

Construire l’Europe

«Dialogue sur l’enseignement de l’histoire et la recherche pédagogique» Comment enseigner l’histoire à nos enfants? Autrement dit, comment l’enseignement de l’histoire peut-il contribuer à rapprocher les peuples? Cette question fondamentale a été posée lors du colloque qui s’est tenu les 26 et 27 mars derniers dans le cadre d’un dialogue franco-hongrois au centre de recherche sur la société et à l’Institut national de pédagogie de Budapest.

Expo: Hanna Kürthy

San Francisco est bleue. C’est ce que suggère Hanna Kürthy, à qui l’hôtel Gellért consacre une belle exposition. La luminosité des gratte-ciel au bord de l’Océan montre toute la force de l’artiste peintre. Dès son enfance elle était une virtuose du dessin, mais elle a également acquis une solide formation d’architecte et, à ses débuts, a participé à la reconstruction de quelques célèbres édifices de Budapest.

Musique: Kampec Dolores

Présenter des groupes sans actualité brulantes est un luxe. La pression des maisons de disques, des tourneurs et autres sponsors modifie la perception que l’on peut se faire des artistes, des musiciens. Le marketing et le formatage des styles sont tels qu’un disque est jugé en 15 secondes après l’écoute du début des quatre premiers morceaux. On chronique tout mais on n’écoute rien.