En Hongrie, les démocrates américains préparent l’offensive contre Trump
«S’il y a une chose sur laquelle nous sommes tous d’accord, c’est que peu importe le candidat choisi, il est impératif que nous vainquions Trump», affirme d’emblée Merrill Oates, à la tête de la branche hongroise du parti démocrate américain. Avec plus d’une année avant les élections du 3 novembre 2020, tout est mis en place au pays magyar pour éviter que l’histoire se répète.
Pour marquer la fête nationale française, l’Institut français de Budapest a convié les Budapestois et Budapestoises à un bal ce vendredi, à la veille du 14 juillet. Le directeur de l’Institut, Frédéric Rauser, et l’organisateur de l’événement, Florent Heridel, ont bien voulu s’adresser au JFB concernant cette tradition vieille de presque 20 ans à Budapest.
S´il est un homme politique qui défraie la chronique sur la scène internationale, c´est bien lui, Viktor Orbán. Qui plus est, suscitant les passions les plus extrêmes. Les uns le soutenant avec fougue, parfois à la limite de l´idolâtrie, les autres le vilipendant à tours de bras, n´hésitant pas au besoin à le diaboliser pour en faire leur ennemi juré. Ces derniers, paradoxalement, pour ne pas lui déplaire. Car, né pour le combat, Orbán a besoin d´adversaires pour se mettre en valeur. Quitte à s´en fabriquer.
Dix heures et quart. Le claquement des grandes fenêtres du salon suffisent à me tirer de mon coma embrouillé. La lumière perce de partout. Malmené par la canicule, mon front brille comme une rivière de diamants. Mais comme dans La Parure de Maupassant, leur éclat n’est qu’illusion. Apparemment, les Hongrois se lèvent de bonne heure...Ils doivent se tenir loin de la Dreher !
De drôles de clans, venus de part et d’autre de l’Europe, se sont installés au Spartacus Sporttelep, stade du Xe arrondissement, ce Samedi 29 Juin. Ballon ovale en main, ils se sont livrés d’épiques affrontements dans un seul but : être couronné vainqueur du très convoité « Budapest 7s ».
Ce Mercredi 26 Juin, les Français de Lysistrata se produisaient à l’A38 Hajó. Pendant une heure, Max, Théo et Ben ont enflammé le navire, à coups de riffs et de percussions endiablés. Entre les répétitions et le début de leur concert, les trois amis nous ont accordé quelques minutes d’entretien.