Cartes postales sonores de Budapest
Budapest Parcours
Par Emmanuelle Sacchet et l’œil regarde
Que reste-t-il d’un voyage si ce n’est de l’image ? Bien sûr, une odeur emprisonnée quelques heures dans les mailles d’un pull ou le soufflet d’une valise nous transporteront presque plus. Mais qu’en est-il des bruits, des sons ? L’immense gamme sonore que compose une ville est souvent passée sous silence pour le coup. Et si l’on «parle» si peu d’espace sonore, c’est sans doute que l’on a peur que notre sacro-sainte civilisation de l’œil soit entachée. Et c’est Blaise Cendrars qui l’a dit le premier. Au sujet de la radio, il y a bien longtemps.
Etre francophone en 2008
Quelques heures après la parution de ce numéro du JFB, la fête de la Francophonie battra son plein dans le monde entier. C’est donc, comme chaque année, le moment de faire notre petit état des lieux. Nous sommes bien loin de l’année 1871 et de la vision qu’avait Onésime Reclus du concept de francophonie. Même si la tendance est de bien différencier le sentiment de francophonie d’avec ses institutions, on ne saurait nier l’utilité potentielle de celles-ci.
LES TORCHONS & LES SERVIETTES
S’il y a bien une chose qui me séduit et m’émerveille à Budapest c’est la créativité dans la récup, l’inventivité dans le fauché.
Délivrez-moi
Cinéma
Le JFB a rencontré le réalisateur québécois Denis Chouinard à l'occasion de la présentation de son film Délivrez-moi (2006), projeté dans le cadre de la nuit du cinéma lors de la Fête de la Francophonie
JFB: Pouvez- vous nous dire quelques mots sur vous ?
Monologues de l’âme
Les livres du JFB
Après avoir dévoré Le Faon lors de sa parution en 1959, Hermann Hesse, grand écrivain suisse allemand, s’était exclamé : «Avec Frau Szabó, vous avez pêché un poisson d'or. Achetez toute son oeuvre, ce qu'elle a écrit et ce qu'elle écrira».
C’est donc en toute logique que, lectrice charmée par La Ballade d’Iza, je me suis précipitée sur Le Faon, dont la traduction française date de janvier dernier seulement ! J’y ai retrouvé avec plaisir le style littéraire qui m’avait tant charmée dans La Ballade d’Iza.
Géza Balla, viticulteur de Aradhegyalja
„Le vin qu’ils produisent donne de l’étincelle à l’amour, du feu à l’amitié et la pensée prend son vol.”