Gestes Fransformateurs
Une forte proportion de productions venant de pays francophones n’est pas une nouveauté au Trafó – comme si les artistes anarchistes français ayant occupé le bâtiment pendant quelques mois au début des années 1990 y avaient laissé leur testament. Cette saison est également très riche en artistes qui, sans toutefois se servir de la matière verbale, représentent la francophonie. En voici un échantillon jusqu’en décembre.