«Le spectacle qui répéterait mon enfance», accompagné des vers de Fernando Pessoa, est saisissant dans la Galerie 2B. L’artiste hongrois Gyula Július dédie au poète cette installation composée notamment de photos prises au Portugal. Sa source d’inspiration est Pessoa et ses hétéronymes. Il a créé son personnage d’artiste-dermatologue-photographe en hommage au poète. Tous les objets présentés, comme cet ancien tourne-disque ou cette jambe de cire, ont leur signification dans cette installation à la fois ludique et scientifique, fruit d’une réflexion sur les diagnostiques.

Une petite bouffée d’AIR frais vous fera le plus grand bien à l’approche de cet hiver qui s’annonce long, froid et triste à Budapest. Le passage en Hongrie du duo français AIR, les champions de la french touch, musique électronique des bords de Seine, est assez remarquable pour en parler bien en avance. Le concert aura en effet lieu le dimanche 13 décembre au Petôfi Csarnok.

D’où viennent les Hongrois? Quel patrimoine génétique leur ont transmis leurs ancêtres? La population hongroise actuelle est-elle directement descendante de ce peuple? Voici quelques questions auxquelles l’exposition L’arbre généalogique de notre peuple au musée des Sciences Naturelles apporte quelques réponses.

Conformément à l’une des premières décisions du Parlement depuis la rentrée, la Hongrie se procurera 6 millions de doses du nouveau vaccin contre le virus A H1N1, dont 4 millions seront injectés gratuitement aux personnes les plus vulnérables lors de la première vague de vaccination qui a commencé début octobre.

La relation assez particulière entre l’État hongrois et les églises présentes dans le pays soulève presque chaque année les mêmes débats. Le financement des communautés religieuses et le rôle politique que certains partis reprochent à l’Église catholique sont les mots-clés de ce conflit en cet automne 2010.

Procès autour de l’héritage Sigray La famille Sigray, qui avait mis sa précieuse collection d'oeuvres d'art à la disposition de musées hongrois afin de la sauver les pillages nazis puis communistes, rencontre désormais des difficultés pour récupérer ses biens.

Diplômé de l’Université des sciences économiques de Budapest en 1991, Gábor Iván a fait ses premiers pas vers sa carrière de diplomate au sein du Ministère des Relations économiques internationales, où il travaillait entre 1991 et 1995. Il devint ensuite premier secrétaire et conseiller à la Mission hongroise auprès de l’Union européenne à Bruxelles, avant de retourner en Hongrie en 2001 pour occuper un poste au sein du Ministère des Affaires étrangères.