Opéra: Casse-noisette

Je vais tout de suite répondre à la question qui brûlent vos lèvres : est-ce qu'aller voir une représentation de Casse-noisette à l'opéra national de Hongrie est casse bonbons ? Absolument pas.   Bien entendu, si vous n'aimez pas les ballets et la musique classique, vous risquez de trouver le temps un peu long, même si une révélation peut toujours survenir devant la beauté du spectacle.

Disparition

Le vieux sage de la presse hongroise, László Gruber s'est éteint mardi 25 janvier, à l'âge de 85 ans. Il avait quitté la Hongrie après la révolution de 1956 pour s'installer en France. Il n´est revenu en Hongrie qu´en 1992 en tant que représentant du groupe français Hersant, propriétaire des journaux Magyar Nemzet et Új Szó au début des années 90. Il a passé la dernière année de sa vie en France.  

Triste record

De l’eau stagnante recouvre encore plus de 733 m2 de terrains sur la grande plaine hongroise en raison des fortes précipitations de l’année dernière. Ainsi le record de 2001 a été battu: l’eau recouvrait alors 701m2 de terrains.   Au total 11 départements et 200 villages sont touchés par cette catastrophe naturelle selon les informations récentes des services de secours (OKF).

Tragédie dans une bousculade

Trois jeunes filles sont mortes ce week-end dans une discothèque de Budapest, lorsque la foule, prise de panique, s’est ruée vers la sortie. Deux d’entre elles étaient encore lycéennes. Le drame s’est produit lors de la soirée “Night life” dans le club West-Balkán, l’un des plus populaires de la capitale hongroise. Une enquête a été ouverte par la police qui déterminera avec une équipe médicale la cause du décès de ces trois jeunes femmes. Selon le rapport officiel, il s’agirait d’une mort par étouffement. Les forces de l'ordre ont démenti les informations circulant sur internet selon lesquelles les trois victimes auraient été poignardées.

Budapest versus Bruxelles, épisode 1

La loi sur les média votée fin décembre a déclenché une polémique entre le gouvernement et la Commission européenne. Tiraillé entre les exigences européennes et le désir de satisfaire son électorat à majorité eurosceptique, le gouvernement a déclaré qu’il était prêt à amender son texte en tenant compte des remontrances de la Commission.

Rester ou ne pas rester, telle est la question…

Une fois cette date limite passée, les cotisants qui n’ont pas exprimé leur choix, seront dirigés vers le système de retraite par répartition. Ceux qui optent pour rester dans les fonds de pension privés pourront perdre jusqu’à 70% de leur retraite car à partir du 1er décembre 2011, les cotisations versées par l’employeur rentreront dans le système public et non dans les caisses privées. «Les cotisants qui souhaitent rester dans les fonds de pension privés ne feront plus partie de la communauté basée sur la solidarité», a déclaré György Matolcsy, ministre des affaires économiques.