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De l'histoire des «Juifs dans l'âme»

Rencontre avec l'écrivain Géza Szávai   Il est une histoire incroyable mais vraie que peu de gens connaissent et qui pourtant contient une problématique universelle: celle d'être étranger. Il s'a-git de l'histoire des Sicules judaïsants, communauté hongroise de Transylvanie, dont Géza Szávai nous raconte l’histoire dans son essai-roman sur l’identité intitulé La Jérusalem sicule. La maison d'édition PONT de Budapest, qui a déjà réédité trois fois cet ouvrage en hongrois, vient de publier sa traduction en roumain. L’auteur nous parle de la genèse du livre et de la métaphore qu’il délivre.  

«Aliyah», revanche d’un Juif hongrois

Le 10 mai 1990, alors que la Hongrie vit encore dans l’euphorie de la transition démocratique, Péter Karsay monte à bord du seul vol d’El Al de la journée vers Tel Aviv. Il va faire son «aliyah», un mot hébreu qui signifie litéralement «ascension» et désigne l'acte d'immigration en terre sainte (Eretz Israel) par un Juif. «L’aliyah» est la raison d’être de l’Etat d’Israël et, comme pour les dizaines de milliers de Hongrois ayant pris cette décision depuis le tout début du vingtième siècle, la fière réponse de Péter aux extrémismes d’hier et d’aujourd’hui. 

Paix au genre humain

A l’occasion des 60 ans de l’Etat d’Israël, Baruch Oberlander, Directeur du Centre Chabad Lubavitch pour l’héritage juif en Hongrie nous parle du plus important mouvement Hassadique de l’Orthodoxie judaïque. Chabad signifie Sagesse, Compréhension et Connaissance Il prône le retour spirituel des Juifs à leur croyance et appelle à la Paix. (Illustration: Dorota Zbikowska)    

Du «sur mesure»

Arrivé depuis quelques mois en Hongrie, le nouveau conseiller économique et commercial de la région wallonne près l’Ambassade de Belgique affiche un enthousiasme à déplacer des montagnes. Après huit ans passés comme directeur du bureau régional de Charleroi de l’AWEX (Agence Wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers), Eric de Clercq a choisi de servir son pays à l’étranger, dans un premier temps à Varsovie, puis depuis quelques mois à Budapest.     Rencontre avec le Conseiller économique et commercial en Hongrie pour la Wallonie (AWEX).

La déchetterie à la budapestoise

Deux fois par an, les quartiers de Budapest sont envahis, les uns après les autres, par des tas d’ordures et de déchets les plus divers. Ce qui semble un spectacle tout à fait original pour les étrangers est nommé « lomtalanítás » par les habitants de la capitale. Il s’agit d’un grand débarras collectif, plutôt anarchique dans son ensemble. Heureusement, de nouvelles règles devraient rendre le processus moins spectaculaire qu’il ne l’est actuellement.

Un Campus européen à Dunaújváros

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Au cœur de la Hongrie, la ville de Dunaújváros va se voir dotée d’ici à 2010 d’un nouveau campus universitaire spécialisé dans la formation d’ingénieurs en métallurgie, en informatique, et de chercheurs. Au cours des années 2005-2006, la rénovation du Collège de Dunaújváros, seul établissement d’enseignement supérieur de la ville, a entraîné l’élaboration de son extension dans un projet de niveau européen.

«Mémoire de conversations»

La deuxième génération   Deux galeries d’art à Budapest ont accueilli les artistes de la deuxième génération, enfants des survivants de l’Holocauste. Peintres et sculpteurs venant d’Israël et de Hongrie s’expriment, transmettant le souvenir des parents et grands-parents après tant d’années. On croirait que l’iconographie est codifiée, mais il y a une grande variété d’approches allant du dessin à l’art vidéo.

Un succès paranormal

/*-->*/ Depuis son Audimat record, du 3 avril, avec «A kiválasztott», «l’élu», sur TV2, une déclinaison locale d’un show ayant déjà fait ses preuves ailleurs, Uri Geller est redevenu, en Hongrie, un thème de conversation à la mode. Quoi que l’on puisse penser de lui, il faut tout de même admettre qu’à 61 ans, le pape du paranormal en paillettes, fait encore une belle carrière.