Film

Le cinéma aussi fait sa rentrée et il y en a pour tous les goûts.   A commencer bien sûr par l’immanquable Disney de l’année: WALL-E, ce petit robot à qui l’humanité a confié la mission de nettoyer la terre après l’avoir désertée (on comprend pourquoi 700 ans plus tard la tâche ne soit pas achevée…).

Disque

Le violoncelliste peut-être le plus coté de ces dernières années, le Norvégien Truls Mørk, jalousait sans doute les pianistes qui ont l’opportunité de puiser à l’infini dans l’œuvre de Chopin, alors que les partitions pour instruments à cordes sont peu nombreuses.

Simplicité raffinée

Rencontre avec le trompétiste Lôrinc Barabás Don't die, don't die, live right now, live like you gona live forever.  On doit les paroles de la chanson Famous, qui résonnent encore aux oreilles de nombreux Hongrois, au groupe Barabás Lôrinc Electric. Cet ensemble de jazz emprunte à la musique électronique, au dub, au reggae et au hiphop (dans un style souvent appelé nu jazz) et associe les jeunes talents du jazz et de l’undergound sus la direction du trompétiste Lôrinc Barabás, âgé de 24 ans. Le JFB l’a rencontré lors du Festival Sziget.  

Voyage, voyage

Traio Romano au Festival Sziget   2226 km, c’est la distance entre la ville transylvanienne Târgu Mures et Carcassone en France, c’est-à-dire entre la ville d’origine des membres fondateurs du groupe Traio Romano, qu’ils ont quittée il y a 6 ans et celle où ils vivent maintenant. La musique de Traio Romano (qui signifie la Vie rrom) s’inspire de la mémoire des voyages dans l’espace et le temps. Le JFB a rencontré Lise Borki, la chanteuse et clarinettiste du groupe lors du Festival Sziget.  

Allez, les Hongrois !

Quatre médailles d’argent et une de bronze: tel est le bilan des Hongrois sept jours après la cérémonie d’ouverture des JO à Pékin. La délégation hongroise, composée de 170 sportifs, a très vite empoché ses premières médailles. Les bassins ultramodernes de Pékin semblent porter chance à la Hongrie, même si la performance de quelques grands espoirs est restée en-dessous des attentes.

Le BKV prend des cours de langues

Les contrôleurs du BKV (les transports publics de Budapest) sont devenus indissociables de l’image de la capitale hongroise. Avec leur brassard bleu foncé et leur amabilité très aléatoire, ils font partie de la vie quotidienne des habitants de Budapest. Ils sont même devenus célèbres à l’étranger, par le biais du film de Nimród Antal, « Kontroll », sorti en 2003, et qui avait eu les honneurs d’une sélection au festival de Cannes.