
Le 7 septembre 2010, devant les professeurs du cercle Batthyány, le Premier Ministre a profité de sa présence pour faire le bilan des cent premiers jours de l’action de son gouvernement. Devant un auditoire manifestement glacial et impassible, il n’a pas hésité à employer le terme de révolution pour qualifier son arrivée au pouvoir. Quiconque prétend vouloir comprendre, analyser et, si nécessaire, critiquer l’actuelle politique du cabinet Orbán, doit se pencher sur le contenu de ce discours.