La question paraît anodine, et pourtant elle intéresse de près les organismes européens, en particulier dans le domaine de la santé mentale. L’enjeu est de taille car si l’on veut assurer à l’Europe un avenir serein sur le plan économique, il faut lui donner les moyens pour «se porter bien» sur le plan psychologique.
Depuis 1997, la politique de la santé de la Communauté européenne s’est investie dans de très nombreux projets concernant les fléaux de notre société tels le suicide, la dépression, la drogue, l’alcool ou la violence. Notons par exemple le projet «Promotion de la santé mentale des enfants jusqu'à 6 ans» (1997-1999), et la stratégie anti-drogue de l’UE pour la période 2005-2012.