Des souris et des pommes - Joost une mise au point

Internet est devenu un endroit chic. Autrefois, on se réjouissait d’être au nombre des happy few qui étaient conviés à telle ou telle soirée (vous savez, celles où vous devez envoyer un regard d’excuse à Thierry Ardisson lorsque votre cavalière, à faible Q.I., se pâme à son passage…). De nos jours plus besoin de sortir de chez soi ! C’est à la version test des sites Internet qu’il faut être invité ! Le petit dernier à la mode est Joost. Les privilégiés qui officient comme testeur bêta ne disposant visiblement pas encore d’invitations illimitées, ce sont des renseignements de seconde main que je vais devoir vous donner.

Baguettes ou fourchette ?

Alors qu'un milliard de Chinois connaissent le nom du plus grand poète hongrois, Sándor Petõfi, il était temps d’ouvrir l’Institut Konfucius à Budapest le 7 décembre 2006. Le JFB a rencontré la directrice adjointe nouvellement nommée de l’institution popularisant la langue et la culture chinoises, Vera Guo Xiaojing.

Sarkozy n’est pas hongrois...

Sarkozy n’est pas hongrois ... mais bien français. Malgré l’évidence, les origines magyares du président de la République, fraîchement élu, méritent réflexion, puisque la presse hongroise, de même que les médias français, se sont largement penchés sur la question, sans parler de la communication de Sarkozy lui-même, qui évoque fréquemment son statut «d’immigré réussi».

Balade viennoise

Avec ce numéro spécial consacré à l’Autriche j’avais la possibilité de vous parler d’un restaurant autrichien avec ses spécialités : l’escalope viennoise ou wiener schnitzel, le bouillon aux boulettes de foie de bœuf, le consommé aux lamelles de crêpes, le tafelpitz, plat préféré de l’Empereur François-Joseph, du bœuf bouilli aux légumes avec une sauce au raifort et aux pommes et une linzer torte en dessert… Mais tout cela ne me semblait guère excitant je dois vous l’avouer. J’ai donc opté pour une petite balade en centre-ville à la découverte des incontournables de la gastronomie locale. Voilà donc quelques étapes obligatoires sans lesquelles l’on ne peut pas dire connaître la capitale autrichienne.