Rencontres philosophiques

Lorsque l’on apprend au détour d’une conversation que des initiatives louables sont prises dans notre bonne ville de Budapest, il est de notre devoir, et ce avec un grand plaisir, de vous les rapporter. Ainsi, dans le cadre de Budapest Accueil (l’association de bénévoles bien connue qui permet aux nouveaux arrivants comme aux anciens résidents de se sentir davantage chez eux en Hongrie) des rencontres philosophiques sont organisées sur l’initiative de Paula Serrao et avec la complicité et la participation active de M.Vallée, professeur agrégé de philosophie en poste au Lycée français de Budapest.   Pour vous les présenter, nous avons posé quelques questions à Paula Serrao.

CONCERT: Karim Ziad et Ifrikaya

Image retirée.Il est peut-être temps de redécouvrir la vraie facette de la « world music », notion utilisée par les musicologues depuis les années 1960. Mais qu’est-ce que nous entendons exactement par ce terme ? Ou à quoi nous attendons-nous en nous précipitant à un concert portant la définition générique de « musique du monde » ? Les cultures ont toujours évolué grâce à la circulation des gens et des idées, aux rencontres.

LIVRE: 135 év- 135 kép

C’est le 17 novembre 1873 que Pest, Buda et Óbuda ont été réunifiés pour fonder Budapest, la capitale de la Hongrie et en même temps la métropole la plus importante de l’époque en Europe Centrale. C’est à l’occasion de cet anniversaire que la municipalité de la ville de Budapest a décidé d’éditer cet ouvrage de 135 pages, avec 135 photos. Les photos sont en noir et blanc et offrent un voyage dans le temps à travers des images de la ville d’hier et d’aujourd’hui.

Ça fait mal

Agota Kristof vit en Suisse, écrit en français et, depuis des années, est devenu un auteur connu de la littérature francophone. L’une de ses oeuvres les plus célèbres est Le grand cahier, traduit à ce jour en 35 langues. Agota Kristof est arrivée avec son mari à Neuchâtel en 1956 comme réfugiée et y est restée. Au début elle ne parlait pas du tout français mais, c’est lors des pauses, dans l’usine d’horloges où elle travaillait, qu’elle a commencé à l’apprendre.