Les illusions perdues de l’Europe de l’Est
Depuis leur adhésion à l’Union européenne, les pays de l’Europe centrale ont vu leur croissance s’accélérer, attirant toujours plus d’investisseurs occidentaux. La crise économique actuelle a pourtant mis en avant leurs faiblesses et les inconvénients des mo-dèles économiques trop dépendants des pays occidentaux.
Nouvel élan pour sortir de la crise ?
Le Premier ministre hongrois, Ferenc Gyurcsány, a récemment présenté devant le Parlement son nouveau plan détaillé pour sortir de la crise économique. Mais d’autres propositions sont aussi sur la table.
Dépenses pour l’intégration des Roms
Bien que le gouvernement hongrois ait dépensé environ 150 milliards de HUF lors des 20 dernières années pour lutter contre la ségrégation de la minorité rome, ses conditions de vie se sont plutôt dégradées au cours de cette période.
«Comme tout le secteur tertiaire de l’activité économique, les médias seront également touchés par la crise» a déclaré Rupert Murdoch, le PDG de News Corp. Et en Hongrie, la crise arrive précisément à un mauvais moment, alors même que le secteur commençait à peine à se redresser, après les grandes difficultés rencontrées par ce secteur depuis 2006 et dont il sortait à peine.
C’est en Hongrie et en Pologne que les premières fissures du bloc de l’Est se manifestent. Cette évolution sans précédent est suivie de près par la communauté internationale. Pourtant, si les pays occidentaux soutiennent dans leurs discours le changement de régime en 1989, il faudra du temps pour qu’une aide concrète se mette en place.
Rencontre avec Melinda Erdőháti
Alors que le musée des Beaux-Arts vient d’inaugurer une grande exposition sur Gustave Moreau, je rencontrais pour le JFB Melinda Erdôháti, assistante auprès du conservateur en chef, pour une conversation à bâtons rompus sur son parcours, au gré de ses envies et des aléas de l’Histoire, de sa Roumanie natale à Budapest en passant par la Belgique.
Échos de la francophonie
La chronique de Dénes Baracs
De retour d’une semaine de vacances de neige, j’ai deux bonnes nouvelles à partager avec vous, chers lecteurs.