Expo: Étienne Farkas

Les œuvres de quatre générations d’artistes de la famille Farkas sont réunies à la galerie 2B. C’est avec Etienne Farkas et Ida Kohner, couple de peintres, que débute l’histoire peu commune de cette famille. Une monographie éditée à Budapest et un essai critique d’André Salmon publié à Paris évoquent la figure d’Etienne Farkas, quelque peu oublié dans son pays encore à l’heure actuelle.

Les Quatre et cent coups

Arrestations dans l’affaire des assassinats de Rroms La police a enfin arrêté quatre personnes, suspectes d’avoir commis les crimes contre des Rroms depuis 1 an. Cette arrestation n’a toutefois pas calmé l’opinion publique, en particulier au sein des communautés minoritaires, qui craignent qu’une partie de leurs complices soient encore dans la nature.

Indemnités records

Malgré leur situation financière déplorable, plusieurs entreprises publiques semblent avoir payé des indemnités records à ses anciens cadres. A commencer par la société de transport de Budapest (BKV) où plusieurs milliards de HUF ont été versés à certains dirigeants alors que l’entreprise ne cesse de voir ses dettes augmenter. Ainsi les questions sur la rémunération des patrons des entreprises nationales se multiplient-elles.

Vivre sans Internet

Échos de la francophonie La chronique de Dénes Baracs L’idée est bizarre, mais j’ai une excuse: elle n’est pas la mienne. Vous vous rappelez peut-être, il y a quelques années j’étais encore choqué par la toile. Pour le journaliste classique que j’était, armé de crayons, de stylos, de téléphone, de machine à écrire etc., ce monde insaisissable et omniprésent des surfeurs du web me semblait trop jeune, trop étrange, trop rapide, trop omniscient, hé oui, trop dangereux. (Et il l’est encore, ou bien il le devient de plus en plus, mais pa-rallèlement il offre toujours plus de possibilités).

Rentrée politique

Un agenda chargé attend le Parlement hongrois La première tâche des députés, lors de la prochaine rentrée parlementaire, sera de voter le budget 2010 qui prévoit une réduction du déficit public à 3,8%. Le gouvernement de Gordon Bajnai entend ainsi se rapprocher des 3,5% fixés par Bruxelles mais aussi respecter la feuille de route fixée par le FMI. Ainsi, si des ressources plus importantes seront consacrées à la sécurité et à la création de nouveaux emplois, le financement d'autres secteurs, notamment la santé et l'éducation, reste problématique.