Début décembre 2009, une nouvelle loi a conféré de nouveaux statuts à la Voïvodine qui définissent l’autonomie de cette province serbe. Un pas de plus vers l’intégration de ce pays à l’Union Européenne.
Rencontre avec le Dr. Éva Kelemen, responsable de l'Unité Linguistique Appliquée et chargée des relations internationale, et le Dr. Emőke Jámbor, chef du département des langues néolatines, à l'Institut des langues de l'Université des sciences techniques et économiques de Budapest (BME)
Les premiers diplômés depuis l'introduction du système de Bologne arrivent sur le marché du travail. L’heure également des premiers bilans pour cette vaste réforme de l’enseignements supérieur
Disparition de Krisztina Rády
Sur scène comme dans la vie, il est difficile de discerner ce qui ne se produit pas sous les projecteurs. Les artistes adulés par une forêt de fans cachent souvent le petit arbre que peut être un organisateur de concerts ou d’événements, pourtant à la source de tous les projets. Krisztina Rády était de ceux-là.
"Col Tempo". Le projet W. Ce double titre, hermétique au premier abord, dévoile pourtant au spectateur une première clef de lecture dès ses premiers pas dans l'exposition. La Vecchia (La vieille), portrait réalisé par le célèbre peintre vénitien Giorgione, y occupe à elle seule la première salle, tel un préambule à la fois historique et esthétique que les pièces suivantes éclaireront sans jamais en dévoiler le mystère.
Tamás Konok est un homme heureux. Artiste et érudit, il a le don de créer des chefs d’œuvre en dialogue permanent avec les autres maîtres de l’abstraction moderne de ce siècle – comme l’évoquait son ami François Fejtő lors d’un vernissage il y a plusieurs années. Heureux, c'est du moins ainsi que nous le découvrons, dans la nouvelle galerie qui l'accueille à Budapest, dans une ambiance chaleureuse et entouré de fidèles et d’admirateurs.
D’une culture à une autre, l’appréciation d’un même produit peut changer radicalement. Vaillant, l’ancêtre de Pif gadget, une revue qui fut un des rares succès éditorial des communistes français, semblait comme un souffle de liberté pour la jeunesse hongroise de la fin des années cinquante. Qui n’a pas découvert avec consternation, dix ans plus tard, qu’en achetant Pif gadget, il avait donné une partie de son argent de poche à une revue communiste?