ça passe ou ça casse !

L’avenir du DK remis en cause De ministre des sports, Ferenc Gyurcsány est devenu en 2004 Premier ministre de la République hongroise, devenant par la même un poids lourd incontestable de la gauche libérale hongroise. Il est un véritable expert dans l’art de la survie politique et a résisté aux critiques les plus virulentes, notamment lors du scandale provoqué par son discours de 2006, au cours duquel il avait déclaré que son parti et ses dirigeants avaient usé de mensonges auprès des citoyens hongrois.

La monnaie de sa pièce

Après que la "République de Hongrie" se soit changée en "Hongrie" (tout court), un bon nombre d’institutions ont dû s’adapter à ces nouvelles dispositions. Certaines structures comme les panneaux aux frontières ont été modifié, à l’image des pièces d’identités. Ainsi, ces répercussions s’étendront très prochainement aux pièces de monnaies.

Rhapsodie magyare en deux mouvements

Les manifestations du 15 mars Cette année, le rassemblement du 15 mars, temps fort en Hongrie qui célèbre la lutte pour l’indépendance du pays en 1848, s’est déroulé sous le signe de la division : sur la place Kossuth, les sympathisants du gouvernement Fidesz se sont rassemblés, alors qu’à deux kilomètres de là, dans la rue Szabad Sajtó, les opposants au gouvernements manifestaient eux aussi.

L’Europe ne peut plus fermer les yeux !

Soutien socialiste aux forces démocratiques hongroises C’est ce qu’a déclaré Harlem Désir dans une tribune publiée dans Rue89, et qui fait suite à sa visite à Budapest les 14 et 15 mars derniers. C’est à la tête d’une délégation socialiste, mais aussi en tant que député européen et Secrétaire national du PS - représentant à ce double titre le candidat François Hollande et le Parti socialiste européen - qu’il a rencontré pendant ces deux jours les forces démocratiques de Hongrie. Ainsi, il est venu soutenir la manifestation pour les libertés contre la politique du gouvernement Orbán.

Bataille dans les airs

Ryanair vs. Wizz Air La compagnie aérienne hongroise, crée en 1946, a mis la clé sous la porte  pour cause de faillite. A peine refroidi, les vautours se rassemblent sur le corps de Malév. Une fenêtre s’ouvre donc pour les concurrents. Qui reprendra en premier les lignes vacantes à destination de Budapest ? D’un côté, Ryanair compagnie low-cost irlandaise, de l’autre Wizz Air, la low-cost hongroise. La bataille risque d’être tendue.