“La francophonie à l’honneur le temps d’une soirée”, rencontre avec Dóra Anek

“La francophonie à l’honneur le temps d’une soirée”, rencontre avec Dóra Anek

“La francophonie à l’honneur le temps d’une soirée”, rencontre avec  Dóra Anek

Le 20 septembre dernier Mamaison  Hotel Andrássy, située dans le magnifique quartier résidentiel de Pest, organisait une soirée francophone. “Mamaison”, chaine d’hôtels fondée en 1991 par Jean François Ott  a bien grandi depuis au point de s’implanter quasiment partout en Europe Centrale et de l’Est, de Prague à Bratislava en passant bien sûr par Budapest. Nous avons souhaité rencontrer Dóra Anek, directrice générale chez Mamaison Residence Izabella pour en apprendre un peu plus sur la soirée francophone, le quotidien et les projets de Mamaison.

 

 

JFB: Pouvez vous nous parler de la soirée du 20 septembre en quelques mots ?

DA: Comme le titre de la soirée l’indiquait, tout était français. De la décoration à la cuisine en passant  par la musique : ce soir là c’était bleu blanc rouge. Nous avions même prévu un French Cancan. Je suis  satisfaite du déroulement de la soirée. Cette soirée avait pour but de récompenser les firmes qui envoient régulièrement leurs clients dans les hôtels “Mamaison”. Tous les invités se sont bien amusés et sont repartis ravis.

JFB: Quel est selon vous la clè pour qu’une soirée comme celle-ci se déroule bien et que les invités repartent ravis  comme ce fut le cas?

DA: Il faut être bien organisé.  Tout est toujours pensé et prévu dans la mesure du possible.  Rien n’est laissé au hasard. L’organisation c’est la clé en hôtellerie. Tous les moindres détails doivent être pris en considération. Sans cela, impossible de tenir un hôtel . Mais ce n’est pas tout. Pour que vraiment la fête soit réussie et que les invités se sentent bien et il faut qu’ils s’approprient la soirée. Et pour y parvenir, la seule solution que je connaisse c’est de les faire participer le plus possible. Les personnes sont toujours prêtes à s’impliquer dans un jeu et à être les acteurs de la soirée. Encore faut-il leur en donner l’occasion. C’est ainsi que l’on fait sentir aux gens qu’ils sont “chez eux loin de chez eux”. La soirée en l’honneur de la francophonie fut vraiment très chaleureuse, drôle et bon enfant. Un quizz, un tirage au sort et même un French Cancan étaient organisées. Ce sont des détails, des petites choses en plus qui font la différence et qui font que la soirée est  réussie.

 

 

JFB: Quel est pour vous le point fort de Mamaison ? Son atout ?

 

DA: Nous sommes proches des clients qui viennent. J’ai déjà travaillé dans des hôtels gigantesques, avec plus de 300 chambres par exemple. J’avais les mêmes fonctions qu’aujourd’hui mais je ne voyais jamais les clients. Ici au contraire je peux les rencontrer. Les gens se sentent comme chez eux, comblés. Ils n’ont pas l’impression d’être dans une structure froide et impersonelle. C’est la force de notre compagnie d’être si proche d’eux et  d’être capable de créer une ambiance aussi agréable.

 

JFB: Quels sont les projets de Mamaison ?

DA: Je répondrai à la question en deux temps. Notre projet, mais c’est le cas pour chaque entreprise et chaque groupe, c’est d’avoir plus de clients et de faire plus de bénéfices. Mais ce qu’il faut voir et comprendre, c’est que nous y arriverons qu’en perfectionnant nos services, en rénovant nos locaux...Bref, en nous améliorant! Il y a un travail quotidien de rectification permanent en hôtellerie. Nous pouvons avoir les meilleurs clients du monde, si les services ne sont pas à la hauteur, si les infrastructures laissent à désirer, les gens ne reviennent pas. Or nous nous employons à les faire revenir. Pour y réussir nous avons entrepris de nombreux travaux ces dernières années.  La cuisine et le jardin ont eux été complétement rénovées par exemple. Il faut s’améliorer jusqu’au plus petit détail pour que les touristes et les congressistes continuent à affluer chez nous.

François Lalande

 

 

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