Du 14 au 27 janvier
Lundi 14 janvier
Photos relativement récentes – prises par Lenke Szilágyi, portraitiste de la vie culturelle et nocturne de Budapest
Jusqu’au 7 mars à la Galerie Nessim (10, Paulay Ede u., 6e arrt.) (du lundi au vendredi de 14h à 18h30)
Mi ez a hang ?
Quel est ce son ? – les jeunes acteurs du Théâtre Katona font semblant d’avoir constitué un groupe de jazz, avec beaucoup de talent
19h au théâtre Katona (6, Petôfi Sándor u., 5e arrt.)
Mardi 15 janvier
Soirée de gala des lauréats du festival de danse SoloDuo2008 – pour ceux qui songent à découvrir de nouveaux talents
20h au Millenáris Teátrum (20-22, Fény u., 2e arrt.)
Khamoro – cours de danse tsigane, si vous avez envie de connaître de plus près l’univers gestuel de cette culture
18h au Fonó (3, Sztregova u., 11e arrt.)
Mercredi 16 janvier
Apokalipszis – Frisson – vision minimaliste que nous propose Pál Frenák par l’intermédiaire de quatre danseurs
20h au Trafó (41, Liliom utca, 9e arrt.) (aussi les 17 et 18)
Riddim Colony, Knotty Headz, JZA & The Fantastik Four, Love Alliance Soundsystem – la toute jeune génération prend la parole lors de cette soirée de réouverture consacrée au reggae
21h sur le bateau A38 (près du pont Petôfi, côté Buda)
Jeudi 17 janvier
Moments symphoniques de Dohnányi, Concerto pour piano mi bémol majeur de Mozart et Le sacre du printemps de Stravinsky, avec la participation d’une pianiste coréenne, Kim Hye-Jin qui n’a que 20 ans
19h30 dans la salle Béla Bartók du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)
Le Sacre du printemps – autonomie vs collectivité, chaos vs harmonie, dans la chorégraphie d’un des danseurs les plus tranchants de Budapest, Krisztián Gergye
20h au Théâtre MU (17, Kôrösy J. u., 11e arrt.) (aussi le 18)
Vendredi 18 janvier
Carmina Burana – la vie de l’Homme est si fragile entre les mains du Destin… Spectacle du Ballet contemporain de Szeged
19h dans la Salle de Théâtre du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)
Szalay Gábor Quartet – soirée de jazz où la guitare est au premier plan
20h sur le bateau Columbus (port n°4, Vígadó tér, 5e arrt.)
Samedi 19 janvier
egonegonegon – chorégraphie très forte de Krisztián Gergye, présentant certaines affinités avec Egon Schiele
19h30 au Théâtre de Danse d’Europe Centrale – KET (3, Bethlen Gábor tér, 7e arrt.)
Muddy Shoes – un concert live pour les amateurs de blues dans le club très recherché par les touristes qui aiment danser.
Le soir au Old Man’s Music Pub
(13, Akácfa u., 7e arrt.)
Dimanche 20 janvier
Musique et danse – avec l’Orchestre Symphonique National et des danseurs de ballet : œuvres de Bach, Mozart, J. Strauss, Tchaïkovski, Erkel, De Falla et Ravel
11h et 15h dans la Salle de Théâtre du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)
Ne réveillez pas un flic qui dort (José Pinheiro, 1988) – un clin d’œil au regretté Michel Serrault, également avec Alain Delon –VO, 93’)
18h30 au cinéma Örökmozgó
(39, Erzsébet krt., 7e arrt.)
Lundi 21 janvier
Orchestre Philharmonique de Slovénie – interprète le Concerto pour trompette d’Ivo Petric, sept poèmes symphoniques de Lucian Marja Skerjanc et une symphonie de Mahler
19h30 dans la salle Béla Bartók du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.) (aussi le 22)
Photographies d’un danseur et chorégraphe, Josef Nadj, de sa région d’origine, la Voïvodine
Jusqu’au 22 février à l’Institut Français
(17, Fô utca, 1er arrt.)
(vernissage à 18h)
Mardi 22 janvier
Hasard – jeu de danse scientifico-informatif par la compagnie Les Symptômes (Tünet Együttes) (avec des sous-titres en anglais)
20h au Théâtre MU
(17, Kôrösy J. u., 11e arrt.) (aussi le 21)
Les uns et les autres – trois générations de musiciens et de danseurs entre les années 30 et 60 présentées dans le film de Claude Lelouch (1981), avec Nicole Garcia et Geraldine Chaplin (VO, 184’)
18h30 au cinéma Örökmozgó
(39, Erzsébet krt.,
7e arrt.)
Mercredi 23 janvier
Alfredo Brasuglia et Alexandra de Lazareff – peintures existentialistes et structures mécaniques sculptées
Jusqu’au 2 février dans la Galerie Ráday (8, Ráday u., 9e arrt.) (ouvert du lundi au vendredi de 12h à 18h)
Budbudas, Waldeck (A) – un big band expérimental interprète des pièces de Hajnóczy, puis des Autrichiens invitent à danser sur du swing électronique
20h sur le bateau A38 (près du pont Petôfi, côté Buda)
Jeudi 24 janvier
Des états éventuels de la surface des corps – deux langues autonomes qui se traduisent réciproquement : de la musique au geste, par la compagnie Fortedanse de Csaba Horváth
20h au Trafó
(aussi le 25)
UK Subs (UK), The Vibrators (UK) – deux groupes classiques du punk de nouveau en tournée ensemble
21h sur le bateau A38
(près du pont Petôfi, côté Buda)
Vendredi 25 janvier
Turandot – opéra de Puccini avec Gyöngyi Lukács dans le rôle de la Princesse chinoise ; mise en scène de Balázs Kovalik renouvelée dix ans après la première
19h à l’Opéra (22, Andrássy út, 6e arrt.)
Tin-Tin Quintet et le trompettiste Kornél Fekete-Kovács – musique du monde sur une base orientale
20h Musée du Commerce et de l’Hôtellerie – Kultea (15, Szent István tér, 5e arrt.)
Samedi 26 janvier
Andrea Rost chante des grands airs d’opéra de Donizetti, Bellini, Puccini, Mascagni et Verdi
18h à l’Académie de musique
(8, Liszt Ferenc tér, 6e arrt.)
Dance in time (Össztánc) – d’après «Le bal» du Théâtre du Campagnol : comment l’Histoire s’infiltre dans les cours de danse
19h au Théâtre Víg (1, Pannónia u., 13e arrt.)
Dimanche 27 janvier
Le jour le plus long – les premiers jours de juin 1944 vu respectivement depuis les deux camps opposés, juste avant le débarquement de Normandie, dans le film (1962) d’Andrew Marton (VO anglais, français, allemand, 180’)
19h au cinéma Örökmozgó
(39, Erzsébet krt., 7e arrt.)
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