Du 11 février au 24 février 2008
Lundi 11 février
Œuvres de Elgar, Vivaldi, Wolf, Telemann, Dvorak et Händel interprétées par Gábor Boldoczky (à la trompette) et l’Ensemble à Cordes de Budapest
19h30 à l’Académie de Musique
(8, Liszt Ferenc tér, 6e arrt.)
Joyeux Noël – film profondément humaniste et pacifiste de Christian Carion (2005) : à Noël en 1914, des soldats quittent leur poste pour serrer la main de l’ennemi…
20h30 au cinéma Örökmozgó
(39, Erzsébet krt., 7e arrt.) (VO, sous-titres hongrois)
Mardi 12 février
Félix Lajkó et ses amis – cavalcade d’instruments et de styles grâce à ce violoniste diabolique à la réputation mondiale bien méritée
19h30 dans la salle Béla Bartók du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)
Les chansons d’amour – le printemps approche et on le sent bien avec ce film (en avant-première !) de Christophe Honoré (2007) avec Louis Garrel et Ludivine Sagnier, dans le cadre des «Mardis du cinéma»
19h à l’Institut français de Budapest (17, Fô u., 1er arrt.) (VO, sous-titres anglais)
Mercredi 13 f février év
Pages – quand le livre est considéré comme un moyen d’expression et un médium à la fois, avec des productions de ces cinq dernières années aux Pays-Bas: albums et revues d’art. Festival LOW (pour plus d’information : www.lowfesztival.hu)
Dans les galeries Dorottya (8, Dorottya u., 5e arrt.) et Lumen (46, Király u., 6e arrt.) Jusqu’au 3 mars
Jeudi 14 février
Mihály Zichy, le «prince du dessin» – tableaux, œuvres graphiques, lettres et objets personnels de ce contemporain de Munkácsy, connu aussi pour ses sublimes illustrations d’œuvres littéraires.
Dans la Galerie Nationale (Château de Buda, 2, Szent György tér, 1er arrt.) Jusqu’au 23 mars
Panorama symphonique hongrois – les Danses de Galánta de Kodály seront suivies du Concerto pour piano de Kamilló Lendvay, qui fête ses 80 ans cette année, et le Mandarin de Bartók accompagné de projections. Un vaste programme concocté par l'Orchestre Symphonique MÁV (dir. Tamás Gál)
19h30 dans la salle Béla Bartók du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)
Vendredi 15 février
Wim Delvoye – un jeune artiste de Gand qui suit les traces du surréalisme belge et se fait remarquer par sa sincérité provocatrice et son humour grotesque ; avez-vous déjà vu une bonbonne décorée à la manière de la porcelaine de Delft ?
18h (vernissage) dans la Galerie Ernst (8, Nagymezô u., 6e arrt.) Jusqu’au 23 mars
C.O.R.P.S. II. (6.5.4.3.2.1.0.) – expérience théâtrale dans les laboratoires du mouvement. Pour interroger le regard du corps, avec Krisztián Gergye, l’un des chorégraphes les plus originaux et tranchants de la scène hongroise contemporaine : solos pour sept corps masculins
19h30 au Théâtre de Danse d’Europe Centrale (3, Bethlen Gábor tér, 7e arrt.)
Samedi 16 février
Tomasz Sta_ko Quintet – le maître polonais de l’improvisation a réuni un ensemble international pour que sa trompette ait de bons compagnons sur les chemins du jazz européen.
19h30 dans la salle Béla Bartók du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)
C.O.R.P.S. (I.II.III.IV.V.VI.VII.) – deuxième volet de l’expérience citée précédemment (voir vendredi 15 février) : solos pour sept corps féminins et la musique d’Alfred Schnittke.
19h30 au Théâtre de Danse d’Europe Centrale (3, Bethlen Gábor tér, 7e arrt.)
Dimanche 17 février
Lumière audible – nouvelles technologies informatiques en tant que sources de sons : comment un rayon laser ou un geste se transforme en instrument de musique ? Présentation et spectacle
10h30, 14h30 et 16h30 au Trafó (41, Liliom u., 9e arrt.)
Battle of the Big Bands – avec Tetzepi, un groupe avant-gardiste d’Amsterdam, et Flat Earth Society. Cet ensemble qui mélange humour et bravoure propose de présenter l’art contemporain des Pays-Bas lors du concert d’inauguration du festival LOW.
19h30 dans la salle Béla Bartók du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)
Lundi 18 février
Nederlands Kamerkoor – fondée en 1937 par Félix de Nobel, la chorale présente un échantillon de son large répertoire allant du Moyen-Âge aux compositions contemporaines.
19h30 à l’Académie de Musique (8, Liszt Ferenc tér, 6e arrt.)
My City, Amsterdam – comme je la vois – photos subjectives présentant la ville et des scènes de la vie quotidienne. Festival LOW
Dans le Parc du Millénaire
(16-20, Kis Rókus u., 2e arrt.)
Jusqu’au 12 mars
Mardi 19 février
Les amants réguliers – cette fois-ci Louis Garrel est dirigé par son père, Philippe, dans un film de 2005 qui relate l’histoire d’un amour né pendant les manifestations de 68 et saupoudré d’opium
19h à l’Institut français de Budapest (17, Fő u., 1er arrt.) (VO, sous-titres anglais)
Double Grounds – dialogue hungaro-néerlandais par deux saxophones, deux trombones, deux batteries et deux contrebasses, dans la langue du jazz et de l’improvisation
20h sur le bateau A38 (près du pont Petőfi, côté Buda)
Mercredi 20 février
Ordre–désordre – récital de piano de Jan Michiels, lauréat de nombreux concours et professeur du Conservatoire Royal de Bruxelles, dont le répertoire embrasse plusieurs siècles, de Bach à Ligeti
19h30 à l’ancienne Académie de musique (35, Vörösmarty u., 6e arrt.)
La Compagnie des Loups – néo-opéra/cirque/théâtre dansé sur le thème du Petit Chaperon Rouge, pour les plus de 16 ans ; chorégraphie de Gábor Goda avec la Compagnie Artus
19h30 dans la salle de théâtre du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.
Jeudi 21 février
L’intention de l’auteur dramatique au théâtre – conférence de Valère Novarina, de passage à Budapest à l’occasion de la publication en hongrois des Lumières du corps
18h à l’Université de Debrecen (1, Egyetem tér)
Amsterdam Klezmer Band (NL), New Cool Collective (NL) – accords klezmer greffés sur des mélodies tziganes et l’atmosphère des Balkans, suivis d’un jazz latinisant déjà connu - et Reconnu! - par le public du festival Sziget
21h sur le bateau A38
(près du pont Petőfi, côté Buda)
Vendredi 22 février
WAMP – festival de design néerlandais et hongrois : «il n’y a rien qui soit impossible», telle est sa devise ; foire, conférences, workshops, tables rondes, exposition, défilé de mode, etc.
Du 22 au 24 février au Club Gödör (Erzsébet tér, 5e arrt.)
Camp – le « collectif de théâtre » Hotel Modern (NL) de retour à Budapest : entre cinéma et exposition, document et fiction, réalité tragique et illusion, camps de concentration et espace scénique.
20h au Trafó (41, Liliom u., 9e arrt.) (aussi le 23)
Samedi 23 février
Ensemble vocal Huelgas (BE) – l’héritage musical des Pays-Bas (du Moyen-Âge à la Renaissance) sonne grâce aux enquêtes minutieuses de Paul Van Nevel
19h30 à l’église Saint-Michel
(47b, Váci u., 5e arrt.)
Caravane – parmi des foules de particules en turbulences, des êtres humains, comme de petites fourmis, marchent en ligne droite… Chorégraphie de József Hámor
19h30 au Théâtre de Danse d’Europe Centrale (3, Bethlen Gábor tér, 7e arrt.) (aussi le 22)
Dimanche 24 février
Hommage à Louis Andriessen, compositeur néerlandais, rendu par l’orchestre de chambre UMZE qui interprète également l'une des compositions de l’un des disciples du maître, et Coming Together de l’Américain Frederick Rzewski, inspiré par la révolte dans la prison d'Attica en 1971.
19h30 dans la salle Béla Bartók du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)
Ensemble Folklorique Sicule « Hargita » – danses traditionnelles de Transylvanie suivies d’une chorégraphie pleine de fourberie et de sagesse populaires placée sous le signe du Carnaval
19h dans la salle de théâtre du Palais des Arts (1, Komor Marcell u., 9e arrt.)