Vivre sans Internet
Échos de la francophonie
La chronique de Dénes Baracs
L’idée est bizarre, mais j’ai une excuse: elle n’est pas la mienne. Vous vous rappelez peut-être, il y a quelques années j’étais encore choqué par la toile. Pour le journaliste classique que j’était, armé de crayons, de stylos, de téléphone, de machine à écrire etc., ce monde insaisissable et omniprésent des surfeurs du web me semblait trop jeune, trop étrange, trop rapide, trop omniscient, hé oui, trop dangereux. (Et il l’est encore, ou bien il le devient de plus en plus, mais pa-rallèlement il offre toujours plus de possibilités).